Je parle l’anglais. J’écris l’anglais. J’aime l’anglais.

 

J’aime l’anglais depuis mon tout premier cours, en 4e année du primaire, où Ms Francine (à prononcer avec l’accent, s’il vous plaît) avait appris à mes camarades de classe et moi une version remixée de la chanson 12 Days of Christmas. Visiblement, ça m’a marqué (même si je ne me souviens malheureusement plus des paroles. Oh well.).

 

18 ans plus tard, force est d’admettre que cet intérêt à l’âge de 9 ou 10 ans et cette ouverture à une autre langue que le français (français que je maîtrise également parfaitement, by the way) m’ont ouvert bien des portes, et, j’en suis persuadé, sauront m’en ouvrir davantage.

 

Car avouons-le, celle qu’on surnomme « langue de Shakespeare » devrait plutôt s’appeler « langue du monde », « langage universel » ou quelque chose du genre.

 

Autant du point de vue business que personnel, c’est l’anglais qui nous unit d’un océan à l’autre, d’un continent à l’autre. Il suffit de voyager un peu pour le réaliser.

 

Certes, il est plaisant lorsqu’on atterrit, disons, au Japon, d’utiliser les « Bonjour! » et les « Merci! » du pays hôte, mais, par facilité du côté des deux parties, la suite de la conversation s’effectuera assurément en anglais. Dans un anglais boiteux, peut-être, mais toujours en anglais. Surtout en affaires, où les enjeux font en sorte que chacun doit comprendre l’autre et se faire comprendre.

 

Langage universel.

 

À savoir si j’aime l’anglais parce que j’étais le « chouchou » de Ms Francine (toujours avec l’accent, merci) en 4e année, ou si j’étais le chouchou de Ms Francine PARCE QUE j’aimais l’anglais, c’est une autre histoire. Tout ce que je sais, c’est que Ms Francine y est pour quelque chose.

 

D’où l’importance, selon moi, d’avoir une éducation de qualité et, surtout, motivante, lorsqu’il est question de l’apprentissage de langues. J’ai eu la chance (oui, je considère que j’ai eu de la chance) d’être accroché par l’anglais dès mon jeune âge; ce n’est toutefois pas le cas de tout le monde.

 

Certains réalisent son importance une fois sur le marché du travail, lorsque cette lacune leur fait passer un emploi sous le nez, ou lorsqu’ils s’épuisent à pédaler quatre fois plus que leurs collègues pour livrer la marchandise lorsqu’un client, ou une demande, provient d’ailleurs et les force à se mettre en mode anglo, en mode « international ». Difficile, alors, de développer son leadership et d’avoir confiance en ses capacités.

 

Soit, tout n’est pas perdu! Il existe des solutions, ou plutôt, des moyens, pour apprendre l’anglais - relativement, selon l’intérêt - facilement et de manière motivante.

 

On retrouve bon nombre de sites Web consacrés à l’apprentissage de cette langue. CDs et Podcasts sont également des manières de s’approprier celle-ci.

 

Toutefois, ce qui manque à ces solutions, à part Ms Francine et ses chansons de Noël, c’est la conversation. Parler, parler, parler. Pour maîtriser l’anglais, il faut le parler. Encore et encore.

 

À moins de se promener dans le « Vieux » durant le Carnaval, il est plutôt rare qu’on ait l’occasion de pratiquer notre anglais à Québec.

 

C’est là qu’entre en ligne de compte les entreprises québécoises, telles Ateliers de conversation anglaise (ACA), qui a pour mission non seulement d’enseigner l’anglais, mais surtout de le faire pratiquer en stimulant, comme le nom l’indique, la conversation.

 

Qu’on désire l’apprendre par affaires, en groupe avec les collègues du bureau, pour son plaisir personnel, pour faire le tour du monde ou pour ENFIN regarder House of Cards sans sous-titres sur Netflix, Ateliers de conversation anglaise se veut la crème en termes d’apprentissage de l’anglais comme langue seconde.

 

Fondée en 1983, l’entreprise permet chaque année à près de 3000 personnes indépendantes ou provenant d’entreprises comme le Mouvement Desjardins, CAA Québec et Cominar, d’acquérir ou de parfaire leurs connaissances de l’anglais et d’arriver à le parler couramment. Parmi les formules de cours proposées par ACA, on retrouve bien sûr la formation en entreprise, les cours privés ou en petits groupes constitués de 3 à 7 personnes, la formation virtuelle ou par téléphone, les cours pour les jeunes ainsi qu’un camp d’immersion.

 

Honnêtement, si je n’avais pas déjà été bilingue, c’est le genre de programmes que j’aurais aimé suivre (allô le camp d’immersion!). On va se le dire, qu’on soit un adepte de la Loi 101 ou non, on a besoin de l’anglais. Qu’on désire avoir une portée internationale ou non, on a besoin de l’anglais. Qu’on ait besoin de configurer son imprimante à la maison ou non, on a besoin de l’anglais.

Sur ce,

Best regards!

NB: Merci à notre partenaire ACA d'avoir cru en nous.

Révision: Josée Goupil

Photo credit: seeveeaar via Foter.com / CC BY-ND

Né à Québec vers la fin des années 80, François Pouliot est toujours demeuré dans la Vieille Capitale où il est passé à deux doigts de devenir policier. Comme quoi la vie est parfois bien faite, c’est en Marketing qu’il s’est finalement retrouvé pour se découvrir une passion pour l’événementiel.

Au fil des ans, il a su agrémenter son C.V. d’expériences en événements de toutes sortes, à Québec comme à l’extérieur. 

Sorti des bancs d’école en 2012, et allergique au surplace, François garnit sa feuille de route d’implications et de projets divers, tant sur le plan professionnel que social.

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