Lors de ma toute première rencontre avec Rachel, je dois avouer que j’ai été fort impressionnée. Lumineuse, elle est dotée d’une aura que peu de personnes revêtent. Articulée, souriante, agréable et brillante, cette avocate a une vision renouvelée et rafraîchissante de la pratique du droit.
Nous sommes tous séduits chaque jour par des emballages aux apparences attrayantes. Lorsque l’extérieur est beau et projette une image attirante, on peut croire ou se convaincre que l’intérieur l’est aussi. Pourquoi l’image et l’apparence sont mises au premier plan ? Pourquoi ne pas s’attarder davantage au contenu d’abord ? Pourquoi le contenant est si important dans notre société ? Vous l’avez peut-être deviné, je parle de gens ici et non de produits.
Je sais que nous sommes beaucoup à ne pouvoir nous asseoir sur nos lauriers, peu importe lesquels, et que nous refusons le statu quo. Nous sommes nombreux à repousser notre ligne d’arrivée et à mettre spontanément la barre plus haute. Tout ça, ce n’est pas nécessairement pour entrer en compétition avec les autres, mais la plupart du temps, pour entrer en compétition avec soi-même.
Non mais, c’est bin fatiguant ! Ça ne s’arrête donc jamais ?
Je me souviens quand j’ai « appris » à courir. Je voulais courir. Je voyais les gens courir et ils m’impressionnaient tellement ! Mais comment arrivaient-ils à courir de façon si fluide, pendant si longtemps? J’ai retroussé mes manches, chaussé mes espadrilles et joint un club de course à pied pour une sortie organisée pour les « rookies » comme moi. Nous sommes partis, courant et marchant en alternance pendant une minute. Oupelaille. Au bout de la demi-heure, ma première réflexion : ceux qui courent ne chôment pas…
Quand notre entraîneur nous a remis un plan de course pour le mois, j’étais archi motivée. Quand il m’a dit que je serais capable de courir une demi-heure en continu au bout de ces 30 jours, j’ai murmuré : t’es malade… Et voilà, la première édition du défi Josée contre elle-même était lancée. Une foulée après l’autre, j’ai assidûment complété le plan. J’ai couru des 5 kilomètres. Des 10 kilos parce que seulement 5, tsé… et des demi-marathons parce que seulement 10, tsé… Je vous laisse deviner la suite.
À la minute que je me dis que c’est correct, que je n’ai pas à m’en demander autant, que je ne recommencerai pas, que j’ai compris, ça revient : une nouvelle idée, un nouveau défi, une nouvelle chance de me dépasser. J’ai encore mal aux jambes que je me vois grimper une montagne encore plus haute et courir encore plus longtemps. Je crois que je dois embrasser ce trait de personnalité, celui qui me pousse contre vents et marées. Je m’assume. Parce je suis qui je suis que et ça représente tout ce que je suis. Je suis moi, 100% du temps, à prendre ou à laisser. Ainsi va ma vie.
C’est dans le cadre d’une collaboration avec Femmes Alpha que nous avons découvert Andrée Bernier, gagnante du concours «Femme inspirante recherchée». Cette femme d’un enthousiasme débordant a fondé Assurances Andrée Bernier et Filles inc. en 1985. Andrée est aujourd’hui très fière de partager son quotidien au cœur de cette jeune entreprise en plein essor avec ses deux filles Caroline et Marie-Claude Lepage.
Vous êtes vous déjà demandé si vous étiez dans le bon domaine d’étude ou si pratiquiez le bon métier? Le métier qui vous permettrait de vous épanouir le plus, celui qui vous permettrait d’être le meilleur de vous-même. Vous êtes vous déjà demandé ce que serait votre vie si vous aviez fait des choix différents? Et si Steve Jobs avait choisi de se lancer dans la coiffure plutôt que de fonder Apple…
J’ai 27ans et je n’ai jamais été vraiment certaine de ce que je désirais VRAIMENT faire dans la vie et probablement souvent parce que je voulais tout faire, tout essayer! Et si je pouvais vivre de mes passions? C’est le rêve de tout le monde alors pourquoi pas moi!
Ce n’est pas toujours facile dans la vie d’aujourd’hui, alors qu’on se doit d’être une superwoman ou un superman, de ne pas être 100% certain de ce que nous voulons faire l’an prochain ou dans 10 ans d’ici! De ne pas pouvoir dire : Et bien! Je fais ce métier pour le reste de mes jours, j’aime ça, je m’épanouis, voilà! C’est réglé!
J’exagère peut-être me direz vous? Mais pas tant que ça!
Et voilà que dans la dernière année, j’ai décidé de me lancer et j’ai appris à faire 10 métiers.
Miracle? Exagération? Folie?
Et non!
Cette année je suis devenue une entrepreneure, et j’ai appris, en un an, à pratiquer 10 métiers. Des métiers tous aussi différents les uns que les autres, tous aussi motivants et challengeants.
Vous ne me croyez pas?
Devenir entrepreneur dans une petite entreprise qui démarre c’est devenir une experte dans une multitude de choses que l’on n’avait jamais fait auparavant. C’est être à la fois expert en vente et au développement des affaires, gestionnaire des ressources humaines, comptable, responsable des communications, expert en réseaux sociaux, pro du marketing, programmeur web, femme (homme) à tout faire, concierge (et oui…), bloggeur(!!!), et j’en passe…
On devient un expert en gestion du temps et une personne qui dort beaucoup moins car on à la tête remplie d’idées!
On ne devient pas des pros en tout bien évidement, mais on met les mains à la pâte dans chaque volet de l’entreprise et on réussi à accomplir des choses qu’on ne soupçonnait même pas pouvoir réaliser un jour. On réalise rapidement que souvent nous sommes notre propre barrière et que nous pouvons accomplir de grandes choses lorsque l’on se fait confiance.
Et vous ?
Le titre de ce blog vous a interpellé et vous avez lu ce billet jusqu’ici?
Si vous êtes comme moi, et que vous rêvez d’une vie palpitante, remplie de challenges, avec de nouveaux défis tous les jours, remplie de rencontres inattendues et de petites victoires quotidiennes, lancez vous en entreprenariat et, tout comme moi, changez vos vies!
Voici quelques ressources qui m’ont aidé et qui pourraient vous aider vous aussi à démarrer votre projet :
Moovjee québec
La fondation de l’entrepreneurship
Le réseau M
Capitale entrepreneur
Foncez!
À quel âge on se trouve?
Est-ce que vous saviez qu’il fallait se chercher?
Avez-vous commencé à vous chercher?
Vous posez-vous les véritables questions?
Comment je fais pour être sur mon ‘’X’’, mon axe de vie?
Je me suis posé et je me pose ces questions toutes simples depuis plusieurs années, car je sens qu’il doit y avoir un sens à mes actions. Je suis loin d'être le modèle conforme que la société prône. Je n’ai jamais voulu être comme tout le monde, mais je travaillais quand même à me faire aimer par tout le monde… Quel Paradoxe!
On ne peut pas être aimé par tout le monde, car soyons honnêtes, chacun de nous n’aime pas tout le monde…
Pourquoi?
Simplement, parce que c’est difficile d’aimer les défauts des autres, qui trop souvent nous rappellent les nôtres… On n’est pas toujours prêts à les accepter non plus… C’est dur de s’aimer!
S’aimer...
C’est d’accepter sa vraie nature.
C’est d’être en paix avec celle-ci.
C’est de tout faire pour nourrir celle-ci…
Malgré les obstacles qui sont trop souvent nos peurs, celles de notre famille, de nos amis… La société, les idées préconçues, les ouï-dire, les qu’en-dira-t-on, etc...
Vous avez compris où je veux en venir?
Bref soyez vous-mêmes peu importe le regard des autres…
Soyez authentiques!
Be YOU!
Viviane.
Réviseur: Josée Goupil
Ma passion qui découle du sport me fait voir les choses d’une façon différente. Tout cela me pousse à réaliser de plus en plus quel est mon rôle dans la société. Ce qui me pousserait à faire autant d’heures en bénévolat, malgré un emploi du temps chargé.
Aujourd’hui, je ne suis pas de bonne humeur. Non. Dieu sait que c’est rare. Ma mauvaise humeur et ma colère ne durent rarement plus de 2 minutes, top chrono. Faut être là au bon (ou mauvais) moment pour le voir (et le croire). Parce que oui, je fais partie des éternels optimistes. Parce qu’on a trop à perdre à être frustrés. Parce que ça prend tellement trop d’énergie.
Mais aujourd’hui, ça passe pas. Je sens le petit nuage gris me suis à la trace, malgré le beau soleil qui brille dehors, malgré la délicieuse salade que j’ai mangée pour dîner et malgré mon vélo-boulot. Par moments, il pleut. À d’autres moments, ce sont les éclairs et le tonnerre qui se mettent de la partie. Même mes grandes expirations caractéristiques n’y font rien. Ça brûle en dedans. Non, vraiment, c’est poche. Alors, je me dis, tant qu’à ça, profite de la « vibe » pour écrire et vois où est-ce que ça peut mener…
Aujourd’hui, je trouve que je mange encore trop de viande. Que je ne bois pas assez d’eau. Que je pourrais quand même prendre 15 minutes et faire de la muscu. Que j’ai consommé trop d’électricité en utilisant la sécheuse et le lave-vaisselle en même temps. Que j’ai brisé une résolution en prenant un verre de vin (un soir de semaine !). Une chance que ma progéniture et moi avons mangé assez de légumes pour souper…
Aujourd’hui, je ne comprends pas. Je ne comprends pas comment la vie en société peut devenir si compliquée. Comment les relations entre les personnes peuvent être aussi vides et dépourvues d’empathie. Aujourd’hui, dans la classique règle du 80/20, le 80 est clairement négatif. Même mes lunettes roses n’arrivent pas à me faire voir le bon. Aujourd’hui me laisse perplexe.
Comme une chère amie m’a déjà dit : respire dedans. Dans ce temps-là, j’imagine ma bulle. Elle n’est pas si grande, elle est transparente, mais elle bloque l’extérieur. Elle permet de me concentrer sur l’instant présent. Ça m’aide à apprivoiser comment je me sens. Et je retourne à l’essentiel.
L’essentiel, ça part de soi. C’est ce qu’on est en dedans : votre vision de la vie, nos instincts et nos élans. Notre passion, notre lumière et notre voie. L’essentiel, c’est cet instant où on réalise qu’on est plus que ça. Plus que cet instant de frustration qui nous anime. Parce que ce qui nous branche vraiment, c’est la vie. La vie qui nous fait regarder en avant. Cette vie qu’on partage avec ceux qu’on aime et pour laquelle on se dépasse. Parce que passer par-dessus nos moins bonnes journées, c’est se choisir et choisir de ne pas s’empoisonner. Mais c’est surtout de devenir plus grand que soi.
Aujourd’hui, j’y suis encore arrivée. Finalement, contre toutes attentes, je vais au lit sereine, parce que j’ai cette chance que demain soit un autre jour.
Ingrat : (adj.)(latin ingratus, déplaisant)
Def.1 Dont l'apparence physique n'est pas agréable à l'œil, qui manque de grâce : Un visage plutôt ingrat.
« T’es pas grosse, t’es rondelette! » c’est drôle, mon cerveau captait cette phrase différemment : ronde et lette! Ma mère me disait toujours lorsque je me plaignais de mes cuisses molles, de mes boutons d’acné, de mes dents croches d’ado : « C’est pas grave, tu es à l’âge ingrat, tu vas t’embellir… » Espoir! Elle croyait bien faire, bien dire, mais ça ne réglait en rien mes problèmes d’épanouissement personnel!
Ingrat : (adj.)(latin ingratus, déplaisant)
Def.2 Difficile, pénible ou rebutant, qui exige de gros efforts sans résultats appréciables
Je ne suis plus « ronde et lette » j’ai changé, évolué… vieilli. Et pourtant, je vis encore d’espoir… qu’une crème effacera mes rides, qu’une autre conquerra ma cellulite, ou que la nouvelle diète au jus de grenade et crustacé réduira mon tour de hanche. Tant d’espoir et pas beaucoup d’épanouissement. C’est à croire que l’âge ingrat ne passe jamais, qu’il perdure bien au delà de l’adolescence.
Atteindre la beauté comme chacun l’espère, est en soit un objectif difficile, pénible qui demande donc un travail plus sur l’intérieur que l’extérieur, on s’en doute tous bien! La beauté est-elle donc inatteignable? Pourtant je sais voir et reconnaître le beau dans tout ce qui m’entoure, dans tous ceux qui sont là, à coté de moi, à se trouver laids et imparfaits.
Ingrat : (adj. Et nom)(latin ingratus, déplaisant)
Qui ne témoigne aucune reconnaissance : Avoir affaire à un ingrat.
Finalement ma mère n’avait peut-être pas tord : je suis une ingrate, et ce, envers moi-même.
J’ai espoir en ma beauté.
Je travaillerai donc ma gratitude et non mon gras! ;-)
Quand j’étais petite, j’étais vraiment super «cute». J’étais populaire à l’école et les «grandes» de 10 ans se disputaient pour me faire des bisous et me coiffer(!). La boutique de ma ville m’avait prise comme mannequin pour ses défilés enfants et mes parents n’arrêtaient pas de me prendre en photo… mais bang ! à 7 ans, c’est la catastrophe
À vous qui lisez ces mots, a nous qui écrivons, nous sommes toutes et tous le fruit d'un lien. La vie est inséparable du lien. La rencontre de nos parents a permis l'apparition de notre vie.
Comment se construit un lien ? Quels ingrédients sont essentiels pour qu'un lien apparaisse ? Pourquoi les femmes ont-elles un rôle particulier et essentiel dans l'apparition et le développement du lien ?
Il y a un avant, un pendant et parfois un après lien. Il y a des liens biologiques : racines, branches, lianes. Il y a des liens entre les fluides : courants marins, courants atmosphériques, courants de magma, qui sont une des premières pierres de la vie sur terre. Il y a des liens magnétiques et énergétiques qui protègent la terre des rayons cosmiques qui détruiraient la vie sur notre planète. Il y a les liens cellulaires et organiques qui permettent au sang et à la lymphe de circuler dans le corps. Il y a les liens entre les neurones qui permettent à notre cerveau d'apprendre constamment. Il y a les liens sociaux qui permettent à une famille, un village, une ville de se développer et créer de la richesse. Il y a les liens entre les atomes et les galaxies qui permettent à la matière de vivre et de se transformer en permanence.
Le lien est omniprésent, cherchant à se tisser davantage. Le lien est l'obsession sereine et bienveillante du monde du vivant.
Le lien se construit comme un pont, deux rives, deux êtres qu'un espace sépare, se lance dans le vide et vers l'inconnu de l'autre pour se rencontrer. L'autre cette inconnue, l'autre cet inconnu qui nous attire et nous fait peur parfois. Le lien se construit souvent sur la base d'une différence et d'une complémentarité. Les identiques fusionnent ou se repoussent, mais créent rarement des liens riches qu'une différence alimente mutuellement.
La création d'un lien est un subtil équilibre à la fois puissant et fragile. Puissant, car la machine incroyable de la vie ne s'arrêtera jamais et fragile, car tant de choses peuvent perturber et dévier ce lien encore vierge de résistance.
L'apparition constante de liens est la démonstration d'une générosité et d'une confiance totale de la structure de l'univers dans la puissance de la vie.
Quels que soient les risques, le lien cherche à se tisser.
Les ingrédients nécessaires pour créer des liens ? Il faut de la confiance en soi et en l'autre : la peur détruit le lien et crée des distances. Un lien se crée pour échanger : pour donner et recevoir avec bienveillance dans les deux sens. Il faut avoir envie de donner, être généreux pour créer du lien. L'autre ingrédient est tout aussi fondamental : la liberté ! Sans liberté de donner, pas de générosité, pas de confiance, pas de lien. Le lien est au cœur de la vie, car il demande de l'amour, et il entretient l'amour.
Quand on fait l'amour, on transmet la vie.
La nature a prévu que la vie se transmette à deux. La vie a fixé cette règle : la rencontre de la différence de l'autre sera le chemin pour faire exister un autre être. Quelle leçon d'humilité ! Seule et seul, nous ne pouvons pas faire un des plus beaux dons qui soient : transmettre notre vie à un nouveau petit être qui aura besoin de tout notre amour pour se bâtir.
Le secret de l'existence et de l'être : l'être existe grâce à l'amour et l'amour se construit par le lien. En anglais ça donne : be existe grâce à love et love se construit par le link.
Be love link, et vous avez l'explication de mon choix du BE pour beaucoup de projets: ;-) Be est la racine de tout.
Avoir besoin de l'autre pour transmettre l'essentiel
Créer du lien c'est recevoir et donner, c'est les échanges entre l'interne et l'externe. Notre corps nous enseigne cette loi sous un autre angle : tout ce qui entre et sort du corps est associé à un moment de plaisir. Pourquoi ? Pour nous faire ressentir au plus profond de nous cette réalité : pour exister, le bonheur et le plaisir se partagent par un lien.
La femme dans la création et le développement du lien
Créatrice de lien par excellence, figure du lien par essence, bâtisseuse de bonheur au quotidien, la femme est une figure fondamentale de la vie et du lien dans l'univers. Lien entre la vie et l'enfant, le cordon ne se coupe jamais et alimente le premier amour sur lequel l'être se construit. Source inépuisable d'attention et d'émotions pour entretenir et faire vivre une multitude de liens. Source du monde, source de vie, source d'amour, source de liens, la femme est cette fondation puissante qui consolide et tisse le bonheur des sociétés depuis la nuit des temps.
Gardiennes, guerrières, louves, tigresses, dès qu'un intrus menace le lien, elles portent et vivent pour et par les liens qui jalonnent leurs vies.
Parfois en attente de l'autre pour le premier pas vers le lien, c'est souvent elles qui le protègent et l'entretiennent une fois créé.
Porteuses de différences, riches d'émotions variées, dans un cycle connecté aux fondamentaux, elles garantissent l'équilibre, ingrédient essentiel à la stabilité du lien, d'une relation, d'une famille, d'une entreprise et de la société en général.
Merci à Femmes Alpha pour m'avoir invité à écrire ici.
Très belle journée à toutes et à tous !
Avec chaleur et bienveillance
Ruben
Réviseur: Josée Goupil
À défaut que vous me trouviez bourgeoise… Paris est l’une des villes dans le monde que j’aime le moins, du moins aimais le moins…
Depuis ma première venue en 1998, je ne comprenais pas l’engouement de cette ville si prisée à travers le tourisme mondial. Paris, ville de l’amour, de la romance, de l’arrogante tour Eiffel etc.
C’est vrai, il y a un certain charme dans cette ville par l’histoire qui l’habite et la magnificence des bâtiments et d’une architecture à couper le souffle. Par contre, dans ma tête, une fois que nous avons vu les attractions majeures, Paris restait une très grande mégalopole, sans plus.
Dans ma vie, j’ai eu l'occasion d’aller dans la ville lumière une douzaine de fois en près de 15 ans. De passage, en transition ou simplement pour accompagner des amis qui n’y avait jamais mis les pieds.
Pourquoi Paris ne m’attire pas? C’est que je l’ai toujours vue comme une ville sale. Un lieu de béton avec des habitants(serveurs) pas toujours des plus sympathiques. Vous savez leur réputation...elle est parfois un peu trop vraie. Je voyais un métro rempli de criminalité et je ne me suis jamais senti 100% en sécurité dans cette ville. J’ai vu à l'oeuvre des ‘’PIC pocket’’, on attend les avertissements dans les métros...Il y a toujours des gendarmes partout avec leur fusil, subtil mais présent...Rien pour rassurer. New York me fait sentir plus en sécurité imaginez…
Toutefois, cette année, j’ai vu et connu la véritable beauté de Paris… C’est le Paris du lâcher prise de mes idées… J’ai eu l'occasion lors de la mission commerciale avec Québec Numérique de faire des rencontres plus professionnelles, de vivre des expériences qui m’ont sortie de la route habituellement plus touristique de Paris.
En ayant une semaine pour mieux vivre les instants de Paris, je me suis sentie un peu plus locale et en compréhension avec mon milieu de vie temporaire. J’ai finalement fait des rencontres fabuleuses avec des natifs de Paris, qui m’ont complètement bouleversée.
J’ai vu Paris avec l’oeil du local qui du haut de ses ‘’Rollerblades’’ naviguait entre les voitures avec une telle liberté… Patinait dans les cours intérieures du Louvre et des plus grandes attractions historiques. Une liberté et le sourire de la beauté du bonheur d'être présente là et maintenant.
J’ai aussi partagé ma table avec des passionnés de musique Jazz, qui m’ont fait vivre Paris la nuit en décapotable sous le son de la musique… Un regard nouveau quoi!
Apprendre le petit coté ‘’underground’’ de cette ville m’a fait rencontrer finalement des gens extraordinaires et voir les choses d’une nouvelle façon.
J’en comprends donc que la beauté reste dans les yeux des gens qui regardent, viennent ou sont présents à cette beauté… Mais surtout la beauté est dans les personnes que nous rencontrons pour partager ces instants.
Paris, maintenant Je t’aime...J’ai enfin compris ta beauté!
Il y a ces jours où j’aimerais tant retomber en enfance. J'ai toujours aimé regarder les bébés et les jeunes enfants explorer leur monde. L'excitation et l'émerveillement qu'ils démontrent lorsqu'ils découvrent la plus simple des choses sont un plaisir à voir et à vivre avec eux.
Mais au jour de notre mort, quels souvenirs risquent de nous marquer le plus? Le rire de nos enfants, nos meilleurs amis, les amours de notre vie...
Et tous ces moments où la beauté a jailli du chaos et a imprimé des souvenirs indélibiles dans notre coeur.
La beauté est là où tu es prêt à la voir. Même dans les moments les plus sombres, elle fraie son chemin vers ton cœur. Il faut seulement vouloir la distinguer et la ressentir.
Il y a tellement de beauté dans le monde. Et trop de gens pressés qui n’ont pas le temps de l’admirer.
La beauté m’inspire. Je ne fais pas partie des personnes (que j’admire tant) qui peuvent entrer dans leur bulle n’importe où et travailler. Moi ma bulle je dois la créer! J'utilise l'environnement dans lequel je m'installe pour m'inspirer l'état d'esprit dans lequel je souhaite me plonger. J'imagine que mon esprit est capricieux!
« Allez, madame, montez » trois petits mots qui se traduisent automatiquement dans mon cerveau par « enwoye la vieille! Monte qu’on en finisse pis que tu te pettes la gueule! » .
Évidemment, comme tout grand chef d’entreprise, Monique F. Leroux a un horaire de travail effréné. Je me suis donc demandé comment cette leader faisait pour avoir autant d’énergie, paraître totalement reposée et aussi zen ! « Je dois connaître son secret », me suis-je dit !
Comme tout grand chef d’entreprise, Mme Leroux a la passion pour ce qu’elle fait.
« La première chose que je dirais, c’est que j’aime profondément ce que je fais. Donc en quelque part, ça, ça aide beaucoup. Je suis une passionnée et j’ai vraiment la passion de tout ce que l’on fait chez Desjardins. Malgré parfois les difficultés, j’ai cette passion là qui me donne énormément d’énergie et de bonheur. »
If I think inside de box, c’est la déroute, le doute, le brouillard dans le regard, le viaduc sans égard...
Je me rappellerai toujours la première fois où j’ai vu Marie-Hélène.
Fraîchement diplômée en communication de l’Université de Sherbrooke, tout juste débarquée à Québec et armée d’un enthousiasme débordant, cette fière « louperivoise » s’apprêtait à entreprendre un stage d’été au sein de notre Cabinet et allait vivre sa première réunion d’équipe.