Dernièrement, j’ai eu la chance de rencontrer une passionnée de la politique. Et quand je dis passionnée, il s’agit d’un euphémisme! On entend souvent l’expression ‘’être sur son X’’ et bien je peux affirmer hors de tout doute que Annick Papillon est sur le sien.
Se faire dire de se taire, de se calmer, d'être moins intense. Parce qu’on se fait reprocher d’être trop, tout le temps. Trop rapide, trop sensible, trop émotive, trop franche, trop « hyper », trop impatiente mais trop tolérante. Trop naïve, trop méfiante, trop perfectionniste, trop paresseuse.
Imagine
Watch out! Parce que là, ça se joue dans mes cordes…
Imagine un monde complètement différent de celui que tu connais.
Un monde où tout le monde se valorise et s’entraide au lieu de chercher à jouer à « qui va gagner ». Un monde où tout le monde se mêle de ses affaires au lieu de celles des autres.
Je te le demande : qui es-tu, toi, pour juger quelqu’un? De quoi tu te mêles!?
Chaque personne est unique. OUI. Mais être unique ça ne fait pas de toi quelqu’un de spécial parce que tu sauras que TOUT LE MONDE est unique! Tu n’es pas meilleur que personne et personne n’est meilleur que toi. Tout ce que tu as à faire, c’est être. Point. Pis prendre l’engagement d’ÊTRE vraiment TOI, c’est encore mieux parce que le monde a besoin de s’inspirer de ta différence.
Alors au lieu de te comparer, de juger, de perdre du temps à être à l’extérieur de toi, pourquoi tu ne te responsabiliserais pas? Pourquoi tu ne te tournerais pas vers l’intérieur et que tu n’oserais pas TA vérité?
Pourquoi as-tu si peur d’encourager, de mettre en lumière les gens que tu admires au lieu de les jalouser dans ton coin? Pourquoi tu as si souvent besoin de rabaisser et de critiquer pour te remonter, te justifier? Ose TA vérité! Dis que tu as la chienne! Parle de toi! C’est normal d’apprendre, pis c’est normal de se tromper. Ça s’appelle l’humilité. Arrête de te mentir à toi-même, prend ton pouls et regarde-toi le nombril.
Je sais que ce n’est pas ça que la société t’a appris. Je sais qu’elle t’a enseigné à te conformer et à faire comme les autres. Je comprends ton excuse…
Mais je ne l’accepte plus.
Il y a trop de ressources, de gens inspirants, de livres, d’ateliers, d’exemples de personnes qui osent leurs différences et qui enseignent par leur exemple. C’est ceux-là qui croient en toi, parce qu’ils ont d’abord eu le « guts » de croire en eux. C’est pour ça qu’ils comprennent le courage que ça te prend pour oser. Eux, ils ne chercheront jamais à te juger.
Lorsqu’il n’y a plus d’excuses, il n’y a plus de limites à ce que tu peux créer. Je sais que tu n’apprends pas ça à l’école. Mais il existe aussi l’école de la vie. Pis c’est ta responsabilité de t’y engager. Personne ne peut le faire à ta place. Le monde a besoin de toi. De ton VRAI toi. Arrête de chercher à ressembler aux autres. Les réponses sont en toi.
Imagine un monde coloré de la vérité de chacun. Imagine les partenariats, les échanges, l’entraide et la force de plein de gens vulnérables qui s’unissent ensemble pour créer un espace respectueux et sécuritaire dans lequel il y a de la place pour les nouvelles visions, celles qui créeront le changement de demain.
Imagine comment toi, avec toute ta grandeur et la beauté de ta vérité, tu peux être inspirante pour tes enfants. Tu ne peux pas compter sur l’école pour leur apprendre ça.
Alors IMAGINE! Imagine un instant… C’est en changeant TON monde qu’ensemble nous changerons le monde.
« You may say I’m a dreamer… But I’m not the only one. I hope someday you’ll join us. And the world will be as one. » - John Lennon
Je l’aime bien ce John.
Sans rancune.
Photo credit: Glyn Lowe Photoworks. / Foter / CC BY
Réviseur: Philippa Jabouin
L’art part de soi, de notre source de lumière divine. Lorsqu’une œuvre touche les cœurs et les âmes, c’est parce qu’elle a été créée à partir de l’essence et de l’authenticité. Quand on regarde une peinture et qu’elle nous parle, c’est qu’en fait, elle nous parle vraiment. On réussit à comprendre le message et à ressentir l’intention de son auteur. Ce n’est pas de la magie. C’est seulement de la connexion, avec soi, avec les autres et avec l’univers.
''Pour 60$, tu peux en avoir une laide, mais pour 140-160$, tu peux t’envoyer en l’air avec une sacrée chick (c’était pas mal plus vulgaire que ça dans le documentaire…) qui aime le sexe en plus'' (yeah right, tu vas être son 14e client de la journée….penses-tu vraiment qu’elle jouie pour vrai?)
Si je vous dis « tapis rouge », qu’est-ce qui vous vient à l’esprit ? Une soirée de gala ? Des robes ? Des bijoux ?
Si je vous dis que le tapis rouge est rond, qu’il est source d’inspiration pour des millions de personnes et qu’il rendrait heureuse l’actrice Patricia Arquette ? Intrigué ?
Lors de la dernière cérémonie des Oscars, Patricia Arquette a déploré que les journalistes s’intéressaient seulement à l’apparence des actrices plutôt qu’à leur performance ou à leur capacité. Son argument a résonné dans plusieurs sphères professionnelles où les femmes sont évaluées sur leur apparence.
Voici l’occasion parfaite de changer la situation et de mettre en valeur vos capacités.
Vous avez une idée ou un projet hors du commun ? Vous avez fait une découverte scientifique importante ? Vous avez une innovation incroyable ? Bref, vous êtes de ceux et celles qui pensent en dehors de la boîte (out of the box) et qui ont créé quelque chose de nouveau qui mérite d’être connu.
L’heure est maintenant venue de « vivre en dehors de la boîte » et de mettre votre tête en valeur en partageant votre idée, votre projet ou votre innovation avec la communauté.
Faites comme ces femmes inspirantes qui ont osé proposer une conférence et qui sont montées sur la scène de TEDxQuébec (et sur son tapis rouge):
Vous avez jusqu’à samedi 16 mai minuit pour saisir le destin à deux mains et déposer votre candidature et proposer une conférence (http://tedxquebec.com/presenter) Bon succès!
P.-S. Pour ceux qui se posent la question, les propositions de conférence sont caviardées avant d’être transmises au comité de sélection (si, si, caviarder est un vrai mot. Ça signifie que le nom, le sexe et tout ce qui permet de vous identifier sont retirés du document. Ainsi, seules l’idée et la proposition de conférence sont évaluées)
Paulina Podgorska, la Fondatrice de SOSgarde.ca, est certainement une femme alpha accomplie. Une mère monoparentale, professionnelle de marketing, entrepreneure d’envergure, membre du Réseau des Mères en Affaires et lauréate du Prix de l’Entrepreneur de l’Année 2015 offert par ArtistriSud.
1er mai 2015 : date à laquelle je suis devenu un homme
Dans plusieurs sociétés ancestrales, il y avait un rituel de passage de l’adolescence au monde adulte. Celles-ci y voyaient là un geste important pour amener le jeune homme à une maturité émotionnelle plus grande et lui confirmer qu’il est maintenant prêt à faire face à la vie par lui-même.
“Don’t think outside of the box. Just find another box!” Assez choquant, n’est-ce pas? À une époque où l’on ne cesse de nous dire de penser différemment et de sortir du main stream, Shapiro lui, venait de me dire qu’il ne fallait pas que “je sorte de la boîte”, mais plutôt que “je me trouve une autre boîte”...
Aujourd’hui, ben j’ai envie de mettre mon cœur sur la table pis juste d’écrire ce qui sort de ma boîte à lettres dans toute ma vulnérabilité.
Je ne croyais pas écrire...j’étais sans inspiration...
Je ne voudrais ni choquer, ni offusquer personne mais aujourd’hui, je suis une Alpha, qui n’a aucune envie de mettre ses gants blancs...Je n’ai aucune envie d’écrire des mots réfléchis d’avance ! Alors que mon texte vous évoque la négative ou la positive... et bien dans ma boîte à moi, ils sont d’une réalité sans mesure, d’une réalité complètement mienne.
Être une femme de 42 ans, c’est se poser beaucoup de questions.
Être une femme de 42 ans, famille d’accueil, étudiante, sans conjoint
et cinq enfants à la maison, c’est trouver beaucoup de réponses.
Parfois, c’est dur de miser gros quand y’a personne pour t’épauler, personne pour t’encourager quand t’arrives crevée le soir pour te serrer fort pis te dire... je t’aime ! Ça fait dépendance ? Peut-être ! Mais qui n’a pas besoin de ça ? Lever la main...
Ok ! Ok ! C’est vrai ! Suffit d’être sûre de soi... faux ! On a beau dire que la qualité prédomine la quantité, ben ça fait quand même du bien d’avoir une belle gang en arrière de soi ... Ben oui, on est quand même capable d’y arriver seule, mais....... c’est juste plus difficile par p’tits boutes !
J’imagine que mon monde ressemble à toutes ces femmes en fin de compte. Mais étant donné que j’ai connu l’inverse d’une entreprise commune, je peux vous dire aujourd’hui qu’on en bûche un coup quand on est seule à bûcher ! Croire en soi pis avancer dans ce qu’on croit sans avoir d’appui moral, ben c’pas toujours comme un câlin. En fin, nous avons besoin d’appuis pour se sentir en confiance et en sécurité. Qui n’a pas besoin de tout ça ? Personne ne montrait sur une scène en affirmant ne pas avoir besoin d’un minimum d’amour, de soutien et de confiance.
Je ne prétends pas être Bouddha... Y’a des jours où j’suis ben zen, mais d’autres, ou j’me fous pas mal de Bouddha pis que je veux du monde avec moi, pis qui croit en moi...pis du monde qui m’encourage ! Pas vous ?
En fin de compte, ce qui sort de ma boîte à lettres aujourd’hui, c’est que nous avons beau être rebelles, croire en nos forces et croire en nous...
Mais le fait de partager avec quelqu’un d’autre, le bonheur de ce que nous accomplissons... ben c’est le summum de l’Alpha ! Non ?
Reconnaissance / Gratitude / ALPHA / Cathy / Poulin
Alors, moi, je m’appelle Vendetta, je suis une fourmi charpentière qui vit à Limoilou depuis environ 35 ans. J’en ai vu passé des humains du haut de ma poutre et j’ai pu en tirer des conclusions sur vous, les Terrestres. Ouf, par où commencer ? Comment vous aider à aller mieux ? Bon, peut être en vous expliquant la Vie.
Je ne suis pas une personne qui croit au hasard! J'aime plutôt penser que tout ce qui m'arrive a une raison d'être. Que ce soit négatif ou positif, j'essaie plus souvent qu'autrement de voir le bon côté et d'en profiter. C'est pourquoi je n'ai pas hésité une seconde quand Viviane m'a dit: ''Mélissa, il faut que tu rencontres Christine du Réseau des Mères en Affaires!'' (RMA) Elle aimerait lancer un nouveau clan dans la région de Québec et j'ai pensé à toi.'' Ça y est, j'étais curieuse!
Il était une fois, il y a de cela très longtemps, en fait il y à peine 8 mois, j’ai fait une rencontre extraordinaire avec une jeune femme de 42 ans. Je suis heureuse de vous parler d’elle aujourd’hui, puisqu’elle a changé le cours de mon histoire. Je suis : son fantôme du futur.
Je déteste la routine. Tout ce qui se répète me fait perdre de l’intérêt. Le mot « stabilité » m’irrite profondément. Bref, quand ma vie ne ressemble pas à une aventure trépidante, je m’emmerde.
Je déteste manger la même chose, m’entraîner, faire un régime, me priver, en résumé : faire toutes ces choses qui impliquent de la rigueur ou qui m’imposent une règle régulière - pour ne pas dire redondante - à suivre. Je suis ainsi faite.
Liberté. Ça a toujours été ma valeur numéro un, mon leitmotiv. Et je n’ai jamais trouvé de liberté dans la « routine ».
Alors j’ai souvent provoqué le changement; changement d’amoureux, changement de lieu de vie, changement d’idées, changement de plan, et ce, jusqu’au jour où je me suis sentie éparpillée et vidée. Je devais m’admettre une chose : je ne bâtissais rien, et tout ce changement incessant m’épuisait à la longue. Je me sentais flotter dans le néant. Tout était chimère.
Que faire?
Les gens semblaient dire autour de moi que je devais me « stabiliser » pour trouver enfin la paix intérieure. Ça avait l’air tellement plate se « stabiliser ». Mon cerveau n’arrivait vraiment pas à trouver d’issue intéressante.
Jusqu’au jour où j’ai compris.
Je fuyais les difficultés.
J’étouffais les émotions dérangeantes. Je préférais vivre ma vie à « broil », quitte à en payer le prix plus tard. Et le « plus tard » était arrivé. Je devais maintenant faire face à la musique et apprendre à danser.
Alors j’ai décidé de m’étudier, de changer de perspective et d’aborder la question sous un autre angle, l’angle de la vérité.
À partir du jour où j’ai accueilli ma peur de l’échec, j’ai appris à continuer d’avancer même dans l’adversité.
À partir du jour où j’ai accueilli ma peur d’être rejetée, j’ai appris à aimer même dans la difficulté.
À partir du jour où j’ai accueilli ma peur de perdre, j’ai appris à partager sans rien attendre en retour.
À partir du jour où j’ai accueilli ma peur de me tromper, j’ai commencé à créer sans crainte d’être jugée.
Et tu sais quoi? J’ai commencé à bâtir, à construire ma vie…et à me stabiliser!
J’ai dû apprendre à calmer mes ardeurs et à me déposer. Tranquillement, j’ai compris l’importance de persévérer. Mais pas à n’importe quel prix : au nom de ma vérité. Ce qui m’a enfin permis de goûter à l’immensité de la vraie liberté : celle de me donner la permission d’apprendre et de me tromper, et par-dessus tout : de développer ma solidité et la force de continuer d’avancer.
La persévérance, c’est comme autre chose, c’est un mouvement, c’est malléable, ça s’adapte. La persévérance, c’est de ne pas accepter le statut quo, c’est de foncer, de se réaliser, d’y croire. C’est parfois simplement de remettre nos lunettes roses et de se relancer malgré la tempête ou la tourmente. Parce que de belles choses peuvent naître du chaos.
L’auteur se nourrit d’espoir. Il a le courage de mettre ses tripes sur la table. Même s’il se fera juger. Il est une force tranquille car il sait que les bons mots sont puissants. Mais qu’ils sont longs à trouver. Il faut être acharné. Écrire et réécrire.
Mais le plus difficile dans la persévérance est la solitude. Comme une longue traversée dans le désert, seul.
Croire, persévérer, continuer même quand on veut tout crisser ça là, tout vendre et disparaître quelque part dans le monde. Méchant défi. Ça prend tout un mental.
Samedi. Je sirote un café tout en corrigeant les travaux universitaires de mes étudiants. Ça fait déjà quelques heures que je suis dans la correction. Je sens toutefois que je dois prendre une pause.
Pour cela il est utile de se reconnecter à son intuition, à sa petite voix intérieure, à l’enfant en soi. Prendre une minute pour retrouver en soi l’impulsion initiale, notre pourquoi. Cette impulsion qui nous dit que ‘revenir vers soi à travers une plus grande attention au présent est primordiale pour avancer.
Ces jeunes qui m’entourent, qui croisent mes détours, il m’arrive de penser qu’ils sont lâchent, paresseux et qu’ils faillissent à la tâche
Ils prennent des années sabbatiques, se permettent de rester statiques et de minimiser le théorique