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PARCE QUE LA VIE EST MOUVEMENT....

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PARCE QUE LA VIE EST MOUVEMENT....

Parce que la vie est mouvement, qu’il y a trop d’espace et pas assez de temps… Parce que la routine est mon ennemie, l’aventure ma meilleure amie et la liberté, mon style de vie…


C’est pour toutes ces raisons que j’ai pris une grosse décision… Celle de quitter la vie de bureau, le 9 à 5, les heures passées en tête-à-tête avec mon portable à me demander pourquoi je ne suis pas en train de vivre mon rêve. Mon rêve, c’est d’être libre, de voyager, de vivre de ma passion, de rencontrer des gens de partout dans le monde, de discuter de choses vraies, de découvrir, d’apprendre… Et de faire tout ça en flip-flop. Le monde du tailleur et du veston-cravate m’est étranger et le sera toujours. Je choisis le sourire honnête d’un inconnu dans la rue à la poignée de main trop peu sincère de toi, Ô toi au poste si prestigieux. 


Je pars donc dans moins de deux semaines vivre mon rêve en ouvrant mon auberge au Costa Rica. Je fais le grand saut… À 32 ans, il vient un moment où tu te dis que c’est là ou jamais. On peut toujours attendre: attendre d’avoir plus d’argent, attendre d’être prêt, attendre de trouver une meilleure option. Mais pendant qu’on attend, le temps, lui,  n’attend pas… Il continue de passer et nous file entre les doigts... La vie est trop courte pour attendre. Il faut risquer, il faut vivre, il faut oser. Il faut aller au bout de ses rêves, repousser ses limites et trouver ce qui nous fait vibrer. 


Alors je pars suivre le soleil, suivre ma voie, suivre mon cœur. Je pars « dans le vent »  ouvrir mon auberge et VIVRE. Parfois, il suffit de croire en soi, de choisir sa voie, de mettre le cap dans la direction désirée… Puis le vent se chargera de nous y amener. Personne n’a dit que ce serait facile de naviguer sur l’océan de nos rêves. Contre vents et marées, il faudra avancer. D’un autre côté, avez-vous déjà eu la chance de voir le soleil se lever sur l’océan, ou même s’y coucher? L’avez-vous déjà regretté? 


Alors sur ce, bon voyage, car « Rester c’est exister, voyager c’est vivre » . 

Révision Josée Goupil

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QUAND ÊTRE TROP FLEXIBLE VEUT DIRE SE PERDRE DANS LA MASSE!

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QUAND ÊTRE TROP FLEXIBLE VEUT DIRE SE PERDRE DANS LA MASSE!

Un des gros défis auquel je fais face en tant qu’entrepreneur est de m’assumer comme patron ou comme leader de mon équipe. Je suis convaincue que les défis que je vous exposerai ici sont semblables à ceux auxquels on fait face lorsqu’on s’associe avec d’autres personnes. En effet, naviguer en équipe veut dire que chacun met un peu d’eau dans son vin. Ce qui est difficile, à mon avis, c’est de savoir à quel moment on a tellement dilué notre vin qu’il nous ressemble moins ou que l’on ne s’y reconnaît tout simplement plus.

Il est de plus en plus difficile de fidéliser ses employés. Pour pallier cette difficulté, j’ai été, jusqu’à maintenant, une « boss cool » quand vient le temps de discuter des conditions de travail. J’avais tendance à dire oui à beaucoup de choses et à ne pas tenter d’imposer mon point de vue ailleurs que sur la qualité du travail à accomplir.

Cependant, j’ai réalisé avec le temps que lorsqu’on est un leader et qu’on doit travailler en équipe, il faut parfois apprendre à dire non pour respecter ses valeurs. Nos valeurs ne doivent pas uniquement viser la qualité du travail rendu, mais aussi bien encadrer toute notre vision d’entreprise.

Pour ce faire, j’ai dernièrement mis par écrit la liste des valeurs de mon cabinet. On ne parle pas ici uniquement des valeurs sur le plan du travail, mais plutôt sur le plan du climat de travail. J’ai réfléchi à ce que je voulais qu’on se rappelle lorsqu’on pensait à mon entreprise. Je suis de l’humble avis que les conflits surviennent d’ailleurs souvent entre associés sur ces différences de point de vue plutôt que sur la question du travail réalisé. Il faut donc avoir des valeurs claires et les faire respecter en tout temps dans notre organisation.

Par exemple, dans mon cabinet, je veux transmettre les valeurs suivantes : notre équipe est accessible et à dimension humaine. On vulgarise le droit et nous sommes égaux à nos clients. Pour moi, le tout transparaît dans la façon de communiquer avec nos clients et avec nos contacts. Je désire que les clients nous appellent par nos prénoms, qu’on soit leur fidèle conseiller. Ainsi, cette valeur devrait transparaître à travers une équipe composée de gens sociables et faciles d’approche. Il me faut éviter d’embaucher des gens prétentieux, froids, réservés et distants.

Une autre valeur qui rejoint la précédente est celle de travailler dans la bonne humeur et dans un esprit de convivialité. Je souhaite qu’on ait du plaisir au travail et qu’on travaille en équipe! Or, j’acceptais par le passé que des employés soient enfermés dans leur bureau, la porte fermée, et qu’ils dînent dans leur bureau plutôt qu’avec les autres employés ou les autres locataires de l’immeuble. Dorénavant, je recruterai des gens qui ont cette même valeur. Pour moi, il est important que les membres de mon cabinet aiment travailler en équipe, qu’il n’y ait pas de compétition malsaine entre eux et qu’ils aiment le contact avec les gens.

Lorsqu’on veut faire communiquer nos valeurs au public, je crois qu’il est important d’établir des normes et de faire vivre une expérience à nos clients. Si vous êtes sociables et chaleureux, mais que vous présentez votre client à votre collègue froid et distant, croyez-vous que votre client se sentira à l’aise?

Je crois que cet aspect est très négligé dans les entreprises de services et qu’on retrouve davantage le tout dans les entreprises de vente de produits. Il est temps de définir nos normes et nos valeurs d’entreprise. Si demain votre entreprise était une franchise, à quoi la reconnaîtrait-on? Est-ce par l’accueil, le service, les prix, le décor? Je crois que c’est important d’y réfléchir.

En bref, maintenant que j’ai bien visualisé le type de cabinet que je souhaite construire, je vais m’entourer de gens ayant ces mêmes valeurs. J’ai trouvé l’exercice tellement utile et motivant que je vais la conseiller également à mes clients. 

Qu’en pensez-vous? Avez-vous déjà eu de la difficulté à faire valoir vos couleurs dans une organisation?

Sylvie 

Révision Josée Goupil

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The West Coast Call

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The West Coast Call

J’avais 15 ans la première fois où je suis venue. Au début, c’était le mal du pays qui me hantait. Mes amies me manquaient. Jour après jour, un X s’ajoutait sur mon calendrier. J’avais si hâte de retourner dans mon Québec natal. Et puis le temps passa. Sans même m’y attendre, un sentiment inconnu m’a alors envahi. 

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Statu quoi?

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Statu quoi?

Je sais que nous sommes beaucoup à ne pouvoir nous asseoir sur nos lauriers, peu importe lesquels, et que nous refusons le statu quo. Nous sommes nombreux à repousser notre ligne d’arrivée et à mettre spontanément la barre plus haute. Tout ça, ce n’est pas nécessairement pour entrer en compétition avec les autres, mais la plupart du temps, pour entrer en compétition avec soi-même.

Non mais, c’est bin fatiguant ! Ça ne s’arrête donc jamais ?

Je me souviens quand j’ai « appris » à courir. Je voulais courir. Je voyais les gens courir et ils m’impressionnaient tellement ! Mais comment arrivaient-ils à courir de façon si fluide, pendant si longtemps? J’ai retroussé mes manches, chaussé mes espadrilles et joint un club de course à pied pour une sortie organisée pour les « rookies » comme moi. Nous sommes partis, courant et marchant en alternance pendant une minute. Oupelaille. Au bout de la demi-heure, ma première réflexion : ceux qui courent ne chôment pas…

Quand notre entraîneur nous a remis un plan de course pour le mois, j’étais archi motivée. Quand il m’a dit que je serais capable de courir une demi-heure en continu au bout de ces 30 jours, j’ai murmuré : t’es malade… Et voilà, la première édition du défi Josée contre elle-même était lancée. Une foulée après l’autre, j’ai assidûment complété le plan. J’ai couru des 5 kilomètres. Des 10 kilos parce que seulement 5, tsé… et des demi-marathons parce que seulement 10, tsé… Je vous laisse deviner la suite.

À la minute que je me dis que c’est correct, que je n’ai pas à m’en demander autant, que je ne recommencerai pas, que j’ai compris, ça revient : une nouvelle idée, un nouveau défi, une nouvelle chance de me dépasser. J’ai encore mal aux jambes que je me vois grimper une montagne encore plus haute et courir encore plus longtemps. Je crois que je dois embrasser ce trait de personnalité, celui qui me pousse contre vents et marées. Je m’assume. Parce je suis qui je suis que et ça représente tout ce que je suis. Je suis moi, 100% du temps, à prendre ou à laisser. Ainsi va ma vie.

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Comment apprendre 10 métiers en 1 an!

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Comment apprendre 10 métiers en 1 an!

Vous êtes vous déjà demandé si vous étiez dans le bon domaine d’étude ou si pratiquiez le bon métier? Le métier qui vous permettrait de vous épanouir le plus, celui qui vous permettrait d’être le meilleur de vous-même. Vous êtes vous déjà demandé ce que serait votre vie si vous aviez fait des choix différents? Et si Steve Jobs avait choisi de se lancer dans la coiffure plutôt que de fonder Apple…
J’ai 27ans et je n’ai jamais été vraiment certaine de ce que je désirais VRAIMENT faire dans la vie et probablement souvent parce que je voulais tout faire, tout essayer! Et si je pouvais vivre de mes passions? C’est le rêve de tout le monde alors pourquoi pas moi! 
Ce n’est pas toujours facile dans la vie d’aujourd’hui, alors qu’on se doit d’être une superwoman ou un superman, de ne pas être 100% certain de ce que nous voulons faire l’an prochain ou dans 10 ans d’ici! De ne pas pouvoir dire : Et bien! Je fais ce métier pour le reste de mes jours, j’aime ça, je m’épanouis, voilà! C’est réglé! 
J’exagère peut-être me direz vous? Mais pas tant que ça!

Et voilà que dans la dernière année, j’ai décidé de me lancer et j’ai appris à faire 10 métiers.

Miracle? Exagération? Folie?
Et non!
 
Cette année je suis devenue une entrepreneure, et j’ai appris, en un an, à pratiquer 10 métiers. Des métiers tous aussi différents les uns que les autres, tous aussi motivants et challengeants. 

Vous ne me croyez pas? 
Devenir entrepreneur dans une petite entreprise qui démarre c’est devenir une experte dans une multitude de choses que l’on n’avait jamais fait auparavant. C’est être à la fois expert en vente et au développement des affaires, gestionnaire des ressources humaines, comptable, responsable des communications, expert en réseaux sociaux, pro du marketing, programmeur web, femme (homme) à tout faire, concierge (et oui…), bloggeur(!!!), et j’en passe… 
On devient un expert en gestion du temps et une personne qui dort beaucoup moins car on à la tête remplie d’idées!
On ne devient pas des pros en tout bien évidement, mais on met les mains à la pâte dans chaque volet de l’entreprise et on réussi à accomplir des choses qu’on ne soupçonnait même pas pouvoir réaliser un jour. On réalise rapidement que souvent nous sommes notre propre barrière et que nous pouvons accomplir de grandes choses lorsque l’on se fait confiance.

Et vous ?
Le titre de ce blog vous a interpellé et vous avez lu ce billet jusqu’ici? 
Si vous êtes comme moi, et que vous rêvez d’une vie palpitante, remplie de challenges, avec de nouveaux défis tous les jours, remplie de rencontres inattendues et de petites victoires quotidiennes, lancez vous en entreprenariat et, tout comme moi, changez vos vies! 

Voici quelques ressources qui m’ont aidé et qui pourraient vous aider vous aussi à démarrer votre projet :
Moovjee québec 
La fondation de l’entrepreneurship 
Le réseau M 
Capitale entrepreneur 

Foncez!

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La route sans fin

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La route sans fin

Ma passion qui découle du sport me fait voir les choses d’une façon différente. Tout cela me pousse à réaliser de plus en plus quel est mon rôle dans la société. Ce qui me pousserait à faire autant d’heures en bénévolat, malgré un emploi du temps chargé.

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Tranche de vie

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Tranche de vie

Aujourd’hui, je ne suis pas de bonne humeur. Non. Dieu sait que c’est rare. Ma mauvaise humeur et ma colère ne durent rarement plus de 2 minutes, top chrono. Faut être là au bon (ou mauvais) moment pour le voir (et le croire). Parce que oui, je fais partie des éternels optimistes. Parce qu’on a trop à perdre à être frustrés. Parce que ça prend tellement trop d’énergie.

Mais aujourd’hui, ça passe pas. Je sens le petit nuage gris me suis à la trace, malgré le beau soleil qui brille dehors, malgré la délicieuse salade que j’ai mangée pour dîner et malgré mon vélo-boulot. Par moments, il pleut. À d’autres moments, ce sont les éclairs et le tonnerre qui se mettent de la partie. Même mes grandes expirations caractéristiques n’y font rien. Ça brûle en dedans. Non, vraiment, c’est poche. Alors, je me dis, tant qu’à ça, profite de la « vibe » pour écrire et vois où est-ce que ça peut mener…

Aujourd’hui, je trouve que je mange encore trop de viande. Que je ne bois pas assez d’eau. Que je pourrais quand même prendre 15 minutes et faire de la muscu. Que j’ai consommé trop d’électricité en utilisant la sécheuse et le lave-vaisselle en même temps. Que j’ai brisé une résolution en prenant un verre de vin (un soir de semaine !). Une chance que ma progéniture et moi avons mangé assez de légumes pour souper…

Aujourd’hui, je ne comprends pas. Je ne comprends pas comment la vie en société peut devenir si compliquée. Comment les relations entre les personnes peuvent être aussi vides et dépourvues d’empathie. Aujourd’hui, dans la classique règle du 80/20, le 80 est clairement négatif. Même mes lunettes roses n’arrivent pas à me faire voir le bon. Aujourd’hui me laisse perplexe.

Comme une chère amie m’a déjà dit : respire dedans. Dans ce temps-là, j’imagine ma bulle. Elle n’est pas si grande, elle est transparente, mais elle bloque l’extérieur. Elle permet de me concentrer sur l’instant présent. Ça m’aide à apprivoiser comment je me sens. Et je retourne à l’essentiel.

L’essentiel, ça part de soi. C’est ce qu’on est en dedans : votre vision de la vie, nos instincts et nos élans. Notre passion, notre lumière et notre voie. L’essentiel, c’est cet instant où on réalise qu’on est plus que ça. Plus que cet instant de frustration qui nous anime. Parce que ce qui nous branche vraiment, c’est la vie. La vie qui nous fait regarder en avant. Cette vie qu’on partage avec ceux qu’on aime et pour laquelle on se dépasse. Parce que passer par-dessus nos moins bonnes journées, c’est se choisir et choisir de ne pas s’empoisonner. Mais c’est surtout de devenir plus grand que soi.

Aujourd’hui, j’y suis encore arrivée. Finalement, contre toutes attentes, je vais au lit sereine, parce que j’ai cette chance que demain soit un autre jour.

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L'âge ingrat

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L'âge ingrat

Ingrat : (adj.)(latin ingratus, déplaisant)

Def.1 Dont l'apparence physique n'est pas agréable à l'œil, qui manque de grâce : Un visage plutôt ingrat.

« T’es pas grosse, t’es rondelette! » c’est drôle, mon cerveau captait cette phrase différemment : ronde et lette! Ma mère me disait toujours lorsque je me plaignais de mes cuisses molles, de mes boutons d’acné, de mes dents croches d’ado : « C’est pas grave, tu es à l’âge ingrat, tu vas t’embellir… » Espoir!  Elle croyait bien faire, bien dire, mais ça ne réglait en rien mes problèmes d’épanouissement personnel!

Ingrat : (adj.)(latin ingratus, déplaisant)

Def.2 Difficile, pénible ou rebutant, qui exige de gros efforts sans résultats appréciables 

Je ne suis plus « ronde et lette » j’ai changé, évolué… vieilli. Et pourtant, je vis encore d’espoir… qu’une crème effacera mes rides, qu’une autre conquerra ma  cellulite, ou que la nouvelle diète au jus de grenade et crustacé réduira mon tour de hanche. Tant d’espoir et pas beaucoup d’épanouissement. C’est à croire que l’âge ingrat ne passe jamais, qu’il perdure bien au delà de l’adolescence.

Atteindre la beauté comme chacun l’espère, est en soit un objectif difficile, pénible qui demande donc un travail plus sur l’intérieur que l’extérieur, on s’en doute tous bien! La beauté est-elle donc inatteignable? Pourtant je sais voir et reconnaître le beau dans tout ce qui m’entoure, dans tous ceux qui sont là, à coté de moi, à se trouver laids et imparfaits.

Ingrat : (adj. Et nom)(latin ingratus, déplaisant)

Qui ne témoigne aucune reconnaissance : Avoir affaire à un ingrat.

Finalement ma mère n’avait peut-être pas tord : je suis une ingrate, et ce, envers moi-même.

J’ai espoir en ma beauté.

Je travaillerai donc ma gratitude et non mon gras! ;-)

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Je détestais Paris!

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Je détestais Paris!

À défaut que vous me trouviez bourgeoise… Paris est l’une des villes dans le monde que j’aime le moins, du moins aimais le moins… 

Depuis ma première venue en 1998, je ne comprenais pas l’engouement de cette ville si prisée à travers le tourisme mondial. Paris, ville de l’amour,  de la romance, de l’arrogante tour Eiffel etc. 

C’est vrai, il y a un certain charme dans cette ville par l’histoire qui l’habite et la magnificence des bâtiments et d’une architecture à couper le souffle. Par contre, dans ma tête, une fois que nous avons vu les attractions majeures, Paris restait une très grande mégalopole, sans plus.
Dans ma vie, j’ai eu l'occasion d’aller dans la ville lumière une douzaine de fois en près de 15 ans. De passage, en transition ou simplement pour accompagner des amis qui n’y avait jamais mis les pieds.

Pourquoi Paris ne m’attire pas? C’est que je l’ai toujours vue comme une ville sale. Un lieu de béton avec des habitants(serveurs) pas toujours des plus sympathiques. Vous savez leur réputation...elle est parfois un peu trop vraie. Je voyais un métro rempli de criminalité et je ne me suis jamais senti 100% en sécurité dans cette ville. J’ai vu à l'oeuvre des ‘’PIC pocket’’, on attend les avertissements dans les métros...Il y a toujours des gendarmes partout avec leur fusil, subtil mais présent...Rien pour rassurer. New York me fait sentir plus en sécurité imaginez…

Toutefois, cette année, j’ai vu et connu la véritable beauté de Paris… C’est le Paris du lâcher prise de mes idées… J’ai eu l'occasion lors de la mission commerciale avec Québec Numérique de faire des rencontres plus professionnelles, de vivre des expériences qui m’ont sortie de la route habituellement plus touristique de Paris.

En ayant une semaine pour mieux vivre les instants de Paris, je me suis sentie un peu plus locale et en compréhension avec mon milieu de vie temporaire. J’ai finalement fait des rencontres fabuleuses avec des natifs de Paris, qui m’ont complètement bouleversée. 
J’ai vu Paris avec l’oeil du local qui du haut de ses ‘’Rollerblades’’ naviguait entre les voitures avec une telle liberté… Patinait dans les cours intérieures du Louvre et des plus grandes attractions historiques. Une liberté et le sourire de la beauté du bonheur d'être présente là et maintenant.
J’ai aussi partagé ma table avec des passionnés de musique Jazz, qui m’ont fait vivre Paris la nuit en décapotable sous le son de la musique… Un regard nouveau quoi!

Apprendre le petit coté ‘’underground’’ de cette ville m’a fait rencontrer finalement des gens extraordinaires et voir les choses d’une nouvelle façon.
J’en comprends donc que la beauté reste dans les yeux des gens qui regardent, viennent ou sont présents à cette beauté… Mais surtout la beauté est dans les personnes que nous rencontrons pour partager ces instants.

Paris, maintenant Je t’aime...J’ai enfin compris ta beauté!

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À "GO" on retombe en enfance!

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À "GO" on retombe en enfance!

Il y a ces jours où j’aimerais tant retomber en enfance. J'ai toujours aimé regarder les bébés et les jeunes enfants explorer leur monde. L'excitation et l'émerveillement qu'ils démontrent lorsqu'ils découvrent la plus simple des choses sont un plaisir à voir et à vivre avec eux.

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Le vertige d’entreprendre

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Le vertige d’entreprendre

« Allez, madame, montez » trois petits mots qui se traduisent automatiquement dans mon cerveau par « enwoye la vieille! Monte qu’on en finisse pis que tu te pettes la gueule! » .

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BOUDDHA OUVRE SA BOÎTE

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BOUDDHA OUVRE SA BOÎTE

Aujourd’hui, ben j’ai envie de mettre mon cœur sur la table pis juste d’écrire ce qui sort de ma boîte à lettres dans toute ma vulnérabilité.
Je ne croyais pas écrire...j’étais  sans inspiration... 
Je ne voudrais ni choquer, ni offusquer personne mais aujourd’hui, je suis une Alpha, qui n’a aucune envie de mettre ses gants blancs...Je n’ai aucune envie d’écrire des mots réfléchis d’avance ! Alors que mon texte  vous évoque la négative ou la positive... et bien dans ma boîte à moi, ils sont d’une réalité sans mesure, d’une réalité complètement mienne.

Être une femme de 42 ans, c’est se poser beaucoup de questions. 
Être une femme de 42 ans, famille d’accueil, étudiante, sans conjoint 
et cinq enfants à la maison, c’est trouver beaucoup de réponses. 
Parfois, c’est dur de miser gros quand y’a personne pour t’épauler, personne pour t’encourager quand t’arrives crevée le soir pour te serrer fort pis te dire... je t’aime ! Ça fait dépendance ? Peut-être ! Mais qui n’a pas besoin de ça ? Lever la main...
Ok ! Ok ! C’est vrai ! Suffit d’être sûre de soi... faux ! On a beau dire que la qualité prédomine la quantité, ben ça fait quand même du bien d’avoir une belle gang en arrière de soi ... Ben oui, on est quand même capable d’y arriver seule, mais....... c’est juste plus difficile par p’tits boutes !
J’imagine que mon monde ressemble à toutes ces femmes en fin de compte. Mais étant donné que j’ai connu l’inverse  d’une entreprise commune, je peux vous dire aujourd’hui qu’on en bûche un coup quand on est seule à bûcher ! Croire en soi pis avancer dans ce qu’on croit sans avoir d’appui moral, ben c’pas toujours comme un câlin. En fin, nous avons besoin d’appuis pour se sentir en confiance et en sécurité. Qui n’a pas besoin de tout ça ? Personne ne montrait sur une scène en affirmant ne pas avoir besoin d’un minimum d’amour, de soutien et de confiance. 
Je ne prétends pas être Bouddha... Y’a des jours où j’suis ben zen, mais d’autres,  ou j’me fous pas mal de Bouddha pis que je veux du monde avec moi, pis qui croit en moi...pis du monde qui m’encourage ! Pas vous ?

En fin de compte, ce qui sort de ma boîte à lettres aujourd’hui,  c’est que nous avons beau être rebelles, croire en nos forces et croire en nous...
Mais le fait de partager avec quelqu’un d’autre, le bonheur de ce que nous accomplissons... ben c’est le summum de l’Alpha ! Non ? 

 

Reconnaissance / Gratitude / ALPHA / Cathy / Poulin

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Êtes-vous anesthésiée, agitée, sensible ou rebelle ?

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Êtes-vous anesthésiée, agitée, sensible ou rebelle ?

Alors, moi, je m’appelle Vendetta, je suis une fourmi charpentière qui vit à Limoilou depuis environ 35 ans. J’en ai vu passé des humains du haut de ma poutre et j’ai pu en tirer des conclusions sur vous, les Terrestres. Ouf, par où commencer ? Comment vous aider à aller mieux ? Bon, peut être en vous expliquant la Vie. 

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Métro, boulot, réseau

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Métro, boulot, réseau

Je ne suis pas une personne qui croit au hasard!  J'aime plutôt penser que tout ce qui m'arrive a une raison d'être. Que ce soit négatif ou positif, j'essaie plus souvent qu'autrement de voir le bon côté et d'en profiter.  C'est pourquoi je n'ai pas hésité une seconde quand Viviane m'a dit: ''Mélissa, il faut que tu rencontres Christine du Réseau des Mères en Affaires!'' (RMA)  Elle aimerait lancer un nouveau clan dans la région de Québec et j'ai pensé à toi.''  Ça y est, j'étais curieuse! 

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Le temps...D'écrire!

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Le temps...D'écrire!

Sept ans

Sept ans, c’est le quart de ma vie.

Sept ans, c’est le temps qui s’est écoulé entre le moment où j’ai écrit le premier mot dans un document Word et celui où ces mêmes mots se sont retrouvés dans un roman, publié à l’automne 2014. Alors que j’ai déjà écrit un manuscrit pour enfants de 5000 mots en un weekend. Ouf.

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TEDx & blues

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TEDx & blues

Nous oublions facilement que l’audace possède plusieurs visages. Certes, les grandes décisions requièrent de l’audace. Mais, l’audace a aussi sa place dans de nombreuses petites décisions du quotidien.

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Le jour où j'ai décidé de me choisir un peu plus

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Le jour où j'ai décidé de me choisir un peu plus

J’ai lancé mon entreprise en 2008. Depuis, mon entreprise est en croissance. J’ai réalisé que plus l’entreprise croît, plus la pression croît également. Plus de clients veut dire plus de clients à satisfaire et plus de chance d’en croiser un mécontent. Plus d’employés veut dire plus de gestion de ressources humaines avec tout ce que cela implique. Un chiffre d’affaires plus élevé veut souvent dire plus de dépenses et d’obligations.

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Être soi-même...ça c'est audacieux!

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Être soi-même...ça c'est audacieux!

Je l'avoue, je n'ai pas toujours été moi même à 100%.  C'est tellement plus simple de faire comme tout le monde.  Ça évite d'être incompris, rejeté et même pointé du doigt.  Combien de fois je me suis fait reprocher d'être trop colorée, de prendre de la place, de déranger...pourtant je n'étais que moi même.  Ces petits reproches ont laissé leur trace car j'ai à un certain moment dans ma vie, changer qui j'étais. 

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Le miroir de la honte

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Le miroir de la honte

8 h 20 : je conduis vers le bureau d’un client et en cinq petites minutes, quatre automobilistes me coupent dangereusement la route sans même annoncer leur changement de voie.  8 h 45 : je fais la file au café pour un latté et je me fais délibérément dépasser. 12 h 30 : je dis bonjour à la caissière de la pharmacie avant de payer mes achats. Aucune salutation de retour et aucun sourire. 17 h 50 : une dame accroche mon panier d’épicerie avec une force incroyable sans même s’excuser [...].

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La switch

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La switch

J’assistais à une conférence de Matthieu Ricard, ancien scientifique converti au bouddhisme et auteur de plusieurs livres dont Plaidoyer pour l’altruisme, qui portait sur l’état politique et environnemental du monde actuel et sur une piste de solution inspirée des principes du bouddhisme. À un moment donné, il nous a proposé de guider une méditation pour nous pratiquer à la compassion, l’empathie et l’altruisme. J’ai fermé les yeux, totalement offerte aux enseignements de cet érudit, c’est que ça confortait mon esprit critique en tabarnouche un scientifique qui me parle de spiritualité. 

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