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On se dit tout

Le droit d’exister

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Le droit d’exister

Je crois que d’être soi-même, c’est choisir d’être vulnérable à cent pour cent, le plus souvent possible, tout en étant conscient de l’être. Nous avons tôt appris à ériger un mur, une carapace, voire même un château fort autour de notre coeur. C’est pourtant vraiment épuisant de chercher à se protéger sans cesse et ça demande beaucoup d’effort car il faut assurer la protection de notre fierté à chaque instant. Très vite, nous réalisons à quel point il est fatiguant de se battre dans le but de se protéger. Mais se protéger de quoi? Contre qui? Notre unicité? Notre grande beauté?

 

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Le contenant ou le contenu?

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Le contenant ou le contenu?

Nous sommes tous séduits chaque jour par des emballages aux apparences attrayantes. Lorsque l’extérieur est beau et projette une image attirante, on peut croire ou se convaincre que l’intérieur l’est aussi. Pourquoi l’image et l’apparence sont mises au premier plan ? Pourquoi ne pas s’attarder davantage au contenu d’abord ? Pourquoi le contenant est si important dans notre société ? Vous l’avez peut-être deviné, je parle de gens ici et non de produits.

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''MAP'' ta vie!

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''MAP'' ta vie!

À quel âge on se trouve? 
Est-ce que vous saviez qu’il fallait se chercher?
Avez-vous commencé à vous chercher?
Vous posez-vous les véritables questions?
Comment je fais pour être sur mon  ‘’X’’, mon  axe de vie?

Je me suis posé et je me pose ces questions toutes simples depuis plusieurs années, car je sens qu’il doit y avoir un sens à mes actions. Je suis loin d'être le modèle conforme  que la société prône. Je n’ai jamais voulu être comme tout le monde, mais je travaillais quand même à me faire aimer par tout le monde… Quel Paradoxe! 

On ne peut pas être aimé par tout le monde, car soyons honnêtes, chacun de nous n’aime pas tout le monde… 
Pourquoi? 
Simplement, parce que c’est difficile  d’aimer les défauts des autres, qui trop souvent nous rappellent les nôtres… On n’est pas toujours prêts à les accepter non plus… C’est dur de s’aimer!

S’aimer...
C’est d’accepter sa vraie nature.
C’est d’être en paix avec celle-ci.
C’est de tout faire pour nourrir celle-ci…

Malgré les obstacles qui sont trop souvent nos peurs, celles  de notre famille, de nos amis… La société, les idées préconçues, les ouï-dire, les qu’en-dira-t-on, etc...
Vous avez compris où je veux en venir?

Bref soyez vous-mêmes peu importe le regard des autres…

Soyez authentiques!

Be YOU!

Viviane.

Crédit photo Neal. / Foter / CC BY

Réviseur:  Josée Goupil

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Témoignage d’une ex-moche

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Témoignage d’une ex-moche

Quand j’étais petite, j’étais vraiment super «cute». J’étais populaire à l’école et les «grandes» de 10 ans se disputaient pour me faire des bisous et me coiffer(!). La boutique de ma ville m’avait prise comme mannequin pour ses défilés enfants et mes parents n’arrêtaient pas de me prendre en photo… mais bang ! à 7 ans, c’est la catastrophe 

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Chaos is beautiful

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Chaos is beautiful

Mais au jour de notre mort, quels souvenirs risquent de nous marquer le plus? Le rire de nos enfants, nos meilleurs amis, les amours de notre vie...

Et tous ces moments où la beauté a jailli du chaos et a imprimé des souvenirs indélibiles dans notre coeur.  

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Trop, c’est comme pas assez

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Trop, c’est comme pas assez

Se faire dire de se taire, de se calmer, d'être moins intense. Parce quon se fait reprocher d’être trop, tout le temps. Trop rapide, trop sensible, trop émotive, trop franche, trop « hyper », trop impatiente mais trop tolérante. Trop naïve, trop méfiante, trop perfectionniste, trop paresseuse. 

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[Conte pour tous] Une rencontre et 3 fantômes

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[Conte pour tous] Une rencontre et 3 fantômes

Il était une fois, il y a de cela très longtemps, en fait il y à peine 8 mois, j’ai fait une rencontre extraordinaire avec une jeune femme de 42 ans. Je suis heureuse de vous parler d’elle aujourd’hui, puisqu’elle a changé le cours de mon histoire. Je suis : son fantôme du futur.

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La force de continuer

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La force de continuer

Je déteste la routine. Tout ce qui se répète me fait perdre de l’intérêt. Le mot « stabilité » m’irrite profondément. Bref, quand ma vie ne ressemble pas à une aventure trépidante, je m’emmerde. 

Je déteste manger la même chose, m’entraîner, faire un régime, me priver, en résumé : faire toutes ces choses qui impliquent de la rigueur ou qui m’imposent une règle régulière - pour ne pas dire redondante - à suivre. Je suis ainsi faite.

Liberté. Ça a toujours été ma valeur numéro un, mon leitmotiv. Et je n’ai jamais trouvé de liberté dans la « routine ».

Alors j’ai souvent provoqué le changement; changement d’amoureux, changement de lieu de vie, changement d’idées, changement de plan, et ce, jusqu’au jour où je me suis sentie éparpillée et vidée. Je devais m’admettre une chose : je ne bâtissais rien, et tout ce changement incessant m’épuisait à la longue. Je me sentais flotter dans le néant. Tout était chimère. 

Que faire?

Les gens semblaient dire autour de moi que je devais me « stabiliser » pour trouver enfin la paix intérieure. Ça avait l’air tellement plate se « stabiliser ». Mon cerveau n’arrivait vraiment pas à trouver d’issue intéressante.

Jusqu’au jour où j’ai compris.

Je fuyais les difficultés. 

J’étouffais les émotions dérangeantes. Je préférais vivre ma vie à « broil », quitte à en payer le prix plus tard. Et le « plus tard » était arrivé. Je devais maintenant faire face à la musique et apprendre à danser.

Alors j’ai décidé de m’étudier, de changer de perspective et d’aborder la question sous un autre angle, l’angle de la vérité.

À partir du jour où j’ai accueilli ma peur de l’échec, j’ai appris à continuer d’avancer même dans l’adversité.

À partir du jour où j’ai accueilli ma peur d’être rejetée, j’ai appris à aimer même dans la difficulté.  

À partir du jour où j’ai accueilli ma peur de perdre, j’ai appris à partager sans rien attendre en retour.

À partir du jour où j’ai accueilli ma peur de me tromper, j’ai commencé à créer sans crainte d’être jugée.

Et tu sais quoi? J’ai commencé à bâtir, à construire ma vie…et à me stabiliser! 

J’ai dû apprendre à calmer mes ardeurs et à me déposer. Tranquillement, j’ai compris l’importance de persévérer. Mais pas à n’importe quel prix : au nom de ma vérité. Ce qui m’a enfin permis de goûter à l’immensité de la vraie liberté : celle de me donner la permission d’apprendre et de me tromper, et par-dessus tout : de développer ma solidité et la force de continuer d’avancer.

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La force du Jedi

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La force du Jedi

Mais le plus difficile dans la persévérance est la solitude. Comme une longue traversée dans le désert, seul.

Croire, persévérer, continuer même quand on veut tout crisser ça là, tout vendre et disparaître quelque part dans le monde. Méchant défi. Ça prend tout un mental.

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Ces êtres qui nous donnent des ailes

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Ces êtres qui nous donnent des ailes

Samedi. Je sirote un café tout en corrigeant les travaux universitaires de mes étudiants. Ça fait déjà quelques heures que je suis dans la correction. Je sens toutefois que je dois prendre une pause.

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L'extase (interview)

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L'extase (interview)

Marie-Ève : Bonjour Dieu ! Merci de vous êtes rendu disponible pour nous. Avec ce qu’il se passe en Ukraine, en République Centrafrique, au Kenya et en Syrie, c’est vraiment une chance que vous ayez un peu de temps à nous consacrer!

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Comment être une femme

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Comment être une femme

Je ne suis pas née avec l’amour du rose. On m’a appris très tôt la distinction entre les couleurs qui appartenaient à mon sexe et celles que je devais n’aimer que partiellement pour ne pas y faire honte.

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Chut...qui a dit audace?

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Chut...qui a dit audace?

L'audace, c'est la liberté de créer beau temps, mauvais temps, avec ses propres couleurs, la toile de sa vie.

L'audace démange, dérange et titille celles et ceux qui aimeraient risquer, oser ou simplement s'aventurer.

L'audace démange, dérange et titille celles et ceux qui aimeraient risquer, oser ou simplement s'aventurer.

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Plus rien à foutre

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Plus rien à foutre

Il y a de ces moments dans la vie où sérieusement, t’en a plus rien à foutre. T’en a juste plein ton casque et tu te dis : Eh puis merde! Je me lance, pis ça donnera ce que ça donnera!

Et puis ça, c’est le moment précis où ta raison te lâche, ce qui te permet de te détacher du résultat. Parce que tu ne le fais plus pour les autres, pour avoir l’air belle pis fine ou intelligente. Non. Tu ne le fais pas non plus pour prouver au monde que t’as raison. Non plus. Tu le fais pour toi. Point final.

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Au secours, j'ai perdu mon aura!

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Au secours, j'ai perdu mon aura!

Mais qui est cette personne au teint blafard, le regard vide et irritable? Cette personne qui, autrefois, aurait pu déplacer des montagnes mais qui, aujourd’hui, s’épuise à la simple pensée de pouvoir les déplacer?

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Leçons d'entrepreneures nées en 2125

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Leçons d'entrepreneures nées en 2125

Cela fait 10 ans que je suis journaliste à Elle Québec. J’ai fait mes débuts en 2084 et j’ai eu la chance d’être recrutée à la sortie de l’Université Laval-Vidéotron (L’Université a été rachetée par PKP en 2025, après sa défaite aux élections). J’ai failli quitter mon poste 10 fois depuis mes débuts, mais là, je sens que ma carrière décolle… on m’a donné un nouveau mandat ou plutôt une mission! Youpi, j’en ai vraiment assez de couvrir les musées de voitures à essence et les plantations de palmiers en Antarctique. Cette fois, on m’envoie faire un voyage dans le futur, en 2154. Eh oui, on a tellement fait de nombreuses fois le tour de la terre, que maintenant on visite l’espace-temps. Si on me donne cette mission, c’est parce que – aux dires ma boss- l’audace aurait disparu de la planète. Elle me propose d’enquêter.  

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Vivre différemment et sans culpabilité!

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Vivre différemment et sans culpabilité!

Sur le terrain arrière de la maison, il y avait un espace entre un gigantesque sapin et le foyer, que ma sœur cadette et moi avions baptisé «le Camp Sauvage». À cette époque, plusieurs chats abandonnés circulaient dans le quartier et ma sœur et moi les avions tous adoptés et nommés. Plusieurs soirs après l’école, nous accueillions quelques amis qui aimaient aussi les chats et nous leur permettions de les nourrir et de les flatter. Nous achetions nous-mêmes les boîtes de nourriture pour nos amis félins afin qu’ils puissent manger à leur faim. Club sélect, une carte de membre (faite à la main avec précision) était requise et une affiche colorée accueillait nos invités. À 8 ans, j’avais alors, sans trop m’en rendre compte, développé ma toute première entreprise…

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Face à une situation délicate

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Face à une situation délicate

Ne pas savoir ce qui m’attend est à la fois une source de motivation et a déjà été une paralysie totale. On perd trop souvent notre temps à se demander ce que notre futur nous réserve: Si mon entraînement est intense aujourd’hui, est-ce que j’aurai des résultats demain? Sinon quand?

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