Si vous étiez au Québec au mois de novembre dernier, il est fort probable que vous ayez entendu parler d’Eliane Gamache-Latourelle et de son livre, La jeune millionnaire, lancé lors du dernier Salon du livre de Montréal. Bon nombre d’entre vous se sont probablement procuré son livre et, tout comme moi, vous l’avez peut-être dévoré en quelques heures à peine.
Chaque année, on repart le compteur. C’est un nouveau commencement. On a la chance de refaire sa chance. L’occasion de planter de nouvelles graines. Et de les arroser. De créer encore. De rendre un embryon de projet à terme. De barrer quelque chose dans notre to-do-list before i die.
Mais pour réussir, il faut débuter souvent. Commencer et recommencer. La vie n’est qu’un éternel recommencement. Chaque jour, vous recommencez. Pas à zéro, mais vous recommencez quand même.
Comme ce billet, au début, il était ordinaire. Maintenant, il est meilleur (pas parfait, mais meilleur). Parce que je l’ai réécrit. J’y ai investi des minutes de mon existence. J’ai accepté le fait qu’il ne plairait pas à tout le monde. J’ai assumé ma vulnérabilité et mon authenticité.
Ça fait partie d’une démarche basée sur mes valeurs. Être plus vrai dans tout ce que je fais. Parce que je pense que peu importe le projet que j’entreprends, si c’est basé sur ce que je veux vraiment, je serai plus motivé. L’inspiration sera plus intense. Plus sentie, plus connectée. Et, je n’aurai pas vraiment l’impression de travailler.
Combien de projets commencent et finissent par ça c’est une crisse de bonne idée ? Parce que nous sommes incapables de passer par-dessus l’euphorie du début. Nous sommes figés devant l’autre étape. La concrétisation de l’idée ressemble au mont Everest. À monter pieds nus, sans sherpas, le vent dans la face. Et c’est normal, parce que commencer les choses, c’est beaucoup plus facile que de les terminer. Ça explique probablement pourquoi la procrastination est aussi répandue.
Terminer ce que je commence (j’ai commencé à lire 7 livres en 2014 sans en terminer un seul !!!). Voilà mon premier engagement pour les 8760 heures de 2015. Et je veux aussi me surprendre. Merci à Laila Boulasri pour l’inspiration. Et toi, cher lecteur, que puis-je te souhaiter ? D’être plus connecté avec la nature, avec les autres, et bien sûr, avec toi-même.
Parce que savoir qui l’on est, c’est déjà un bon début !
Le premier jour de l’an me fait toujours l’effet d’un nouveau départ ou d’une nouvelle chance. Comme une bouffée d’air frais par un beau matin d’hiver de carte postale. Bien que je me sente portée par ce souffle à tous les matins, je crois que ce premier jour de l’an nous amène, plus que tous les autres jours, à se challenger, à se remettre en question. Tout est permis, c’est le moment idéal pour se poser « les » questions : comment j’envisage cette prochaine année? Quels défis je désire relever? Quelles améliorations notables j’aimerais apporter à ma vie? Quelles empreintes j’aimerais laisser dans la vie des autres?
Vous arrive-t-il d’avoir les fameux «Sunday Blues» et de prendre des heures à vous endormir le dimanche soir ou pire de vous réveiller toutes les heures?
Ces moments sont parfois stressants et se transforment parfois en cercle vicieux...
On n’arrive pas à s’endormir…
On stresse de ne pas dormir…
Plus on n’arrive pas à dormir…
Plus on stresse, etc…
On m’a souvent dit que s’associer avec quelqu’un c’était comme un mariage. Je dois vous faire un aveux : je suis plutôt du genre célibataire endurcie. Je ne sais pas si c’est parce que pendant que mes amis cherchent l’homme ou la femme idéale avec qui partager leur vie, je cherche l’associé(e) idéal avec qui partager ma première business, mais je vois dans ces deux situations une très forte similarité. Je me suis donc amusée à faire le parallèle entre ces deux quêtes.
L’adage dit que : derrière chaque grand homme, il y a une femme.
Que ce soit exact ou non, cette ancienne vision du partage des rôles explique possiblement le phénomène suivant : peu de femmes prennent la parole devant un groupe pour partager leurs idées, leurs projets ou leurs expériences.
À la suite de mon dernier billet sur l’importance du jeu à travers le sport, il était nécessaire d’écrire sur ces parents qui poussent trop leurs enfants, sur la pression mise sur ces jeunes athlètes, sur le besoin absolu de réussir sans défaite, sur la « réussite par procuration ». J’ai eu la chance d’avoir une mère qui ne m’a jamais fait vivre cette pression durant ma jeunesse. Elle m’encourageait et était fière de moi et ce malgré mes bons ou mauvais coups. Il est légitime que de pousser un enfant qui montre un potentiel dans un domaine et tout à fait sain que les parents en tirent une fierté. Vous l’aurez compris tout est une histoire de limite. Mais à quel moment franchit-on la ligne?
À l’heure où les selfies polluent mon fil Instagram, où c’est chacun pour soi, a-t-on oublié de penser à notre voisin ? De partager avec lui. Partager un sourire, tenir la porte, céder sa place. Tsé, tous ces petits gestes de savoir-vivre. Parce qu’il y a au moins une chose que nous partageons tous ensemble, c’est la société dans laquelle nous vivons.
Oui, moi, Femme Alpha, sportive et en santé, je suis touchée. 14 ans maintenant que je vis avec cette douleur que ni moi ni le système n’arrivons à régler. Pourtant, je gère le tout comme je l’ai toujours fait, mais cette fois…
Il semblerait que le modèle du succès féminin, qui porte ses fruits dans le milieu scolaire, n’offre plus les mêmes résultats arrivé sur le marché du travail. Les compétences et attitudes de travail prônées pour réussir et gravir les échelons ne sont plus les mêmes. Simplement dit, les règles du jeu changent.
Est-ce que, nous, les étudiantes, sommes prêtes pour ce changement? Avant même de poser cette question, est-ce que nous sommes conscientes qu’un changement risque de se produire?
Partager c'est l'une des premières valeurs que mes parents m'ont inculquées. C'est maintenant à mon tour, en tant que maman, de transmettre cette valeur à ma fille de 3 ans. Pas toujours facile car j'ai parfois l'impression de jouer à la police mais je sais qu'un jour ma persévérance portera fruit.
Humm!!! Le sport, qu’est-ce que le sport me procure? Adrénaline oui tout dépend de la discipline, endorphines, c’est quoi au juste? Hormones, ben assez!!! Accomplissement, sûrement. Mais avant tout du plaisir, de simples petits plaisirs.
Lorsque j’ai rencontré Marie-Claude Chevrette, elle venait de remporter la Bourse Jeune Entreprise de la JCCQ. C’était en 2013. La copropriétaire d'Éconeau est une éternelle optimiste qui se nourrit aux défis. Et des défis, elle en a. Son entreprise évolue dans un monde d’hommes et leur système de récupération d’eau de pluie a un marché pratiquement vierge à conquérir. Marie-Claude a aussi relevé un autre défi récemment : celui de vaincre le cancer du sein. Entretien avec une femme qui ne se décourage pas facilement.
À mes 20 ans, ma mère m’a demandé si j’étais fière de ces dernières années. À ce moment, la flamme était là. Ce souvenir alimente ma conduite. Dans les années qui ont suivies, j’ai pris plaisir à jeter de l’huile sur le feu.
Au lancement du blog de Femmes Alpha, ça m’a frappée comme une tonne de briques, aussi cliché que cela puisse paraître. À travers les visages de toutes ces femmes réunies, j’ai revu mes années à l’école secondaire, alors que nous étions ados, mes copines couventines et moi.
La zone de confort c’est aussi là où l'on est en parfait contrôle de soi-même, où les risques sont presque nuls et que les nouveaux défis sont tabous. À notre travail, c'est tellement facile de tomber dans le panneau parce qu'évidemment, on finit par connaître par coeur ce qu’on doit faire et on ne se pose plus de questions. Je crois qu'il est tout à fait normal d’y arriver un jour mais lorsqu'on est dans cette zone, on fait un minimum d'effort et on obtient un minimum de résultats. La zone de confort finit par limiter nos possibilités de faire de nouvelles expériences, de s'épanouir et d’ouvrir nos horizons.
Toute inspirée ou alpha (ils sont des synonymes selon moi) a besoin d’être nourrie; de se nourrir d’expériences, de rencontres et de défis. Cette nourriture permet d’entretenir la flamme, de carrément la trouver, ou de lui donner une nouvelle direction, car parfois, le vent change, parfois même drastiquement.
[...] Il semble confus un instant puis me relate ne pas se sentir très bien lorsqu’il marche en raison de la cigarette, qu’il a fumé près de 45 ans. Je lui démontre de l’empathie, remarquant du même coup que toutes mes portières sont débarrées et que je ne me sens pas en sécurité. [...]
Pendant un long moment dans ma vie, j’étais incapable de dire « non ». Impulsif, irresponsable et inconscient, je m’automutilais avec un mot à trois lettres : O-U-I. Un « oui », à n’importe quelle proposition suffisait pour atteindre l’aspiration d’EXISTER. Trop de gens se fondent dans l’illusion qu’en disant « oui », ils seront plus appréciés ou aimés, mais pour l’avoir testé personnellement et avec les gens que j’accompagne, le « non » remporte la joute en tout temps.
Dans ce classique de Paulo Coelho, le personnage principal est à la recherche de sa légende personnelle. Pour moi, découvrir le feu, c’est exactement ça. Mais je crois qu’au lieu de seulement suivre les indices, il faut se lancer dans le vide. Faire le leap of faith comme disent les Américains.
Pour savoir si vous aimez quelque chose, il faut y goûter. Il n’y a pas d’autres moyens. Pour découvrir ce qui nous allume, il faut parfois se brûler.
Faut dire que mon feu je le cherchais depuis un bout! Mais c’est l’année passée quand j’ai décidé d’avoir la meilleure résolution de l’année de ma vie que tout a explosé! Deux mots simples : cette année SUR-PRENDS-TOI! Oublie ça les habituels « entraine-toi 3 fois par semaine » ou « mange moins de fast food », non, surprends-toi! Donc, à chaque mois (presque) il a fallu que je me trouve un défi ou que j’en accepte un. Ça tombe bien parce que la vie en général se charge de ça pour toi…