Les 13 choses que j'ai apprises pendant le mois de mars et qui changeront ma vie

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Les 13 choses que j'ai apprises pendant le mois de mars et qui changeront ma vie

J’ai eu de nombreuses opportunités dans ce mois de mars. Bon, je l’avoue, en janvier, ma grande demande officielle à la vie était de rencontrer des gens extraordinaires. J’ai été servie, et surtout ce mois-ci.

 

J’ai par exemple, rencontré Joan Roch, un ultra-marathonien franco-québécois qui vient de publier son livre Ultra-ordinaire. Il m’a appris que des gens ordinaires pouvaient réaliser des choses extraordinaires, mais que pour faire ça, il fallait commencer quelque part et tout de suite. Pas dans 10 ans. Maintenant. Et que les grandes choses et les grands exploits se réalisent un pas à la fois. Sur le long terme, cela fait une différence!

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"Même si je suis une femme"

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"Même si je suis une femme"

La peur. La peur d’être féministe. Cette peur de passer pour une radicale, une brûleuse de brassières, même pire, une mangeuse d’hommes (ou pour les hommes, être un faible et un soumis). En fait, ce que la plupart des gens ne semblent pas réaliser, c’est que nous devrions tous être féministes, hommes et femmes.

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INÉGALITÉ DES CHARGES MENTALES

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INÉGALITÉ DES CHARGES MENTALES

J’aimerais partager une prise de conscience sur l’inégalité dans le couple. Un sexisme involontaire, sournois et dont la femme est même complice. C’est ce que j’appelle l’inégalité de la « charge mentale ». J’ai constaté que dans mon couple, comme dans bien d’autres, c’est la femme qui planifie les repas, organise les fêtes, orchestre les sorties de famille. Elle s’assure que tout est bien géré (que rien n’est oublié). En contrepartie, l’homme s’occupe des tâches plus physiques ou qui pourraient sembler plus ingrates comme les vidanges, les rénovations, le pelletage, la vaisselle, le ramassage, pliage de linge.

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Aider des humains

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Aider des humains

"... Par une succession de tranches de vie remplies de leçons, où mon cœur et mon endurance ont été mis à l’épreuve, j’ai commencé à mettre la main à la pâte et à me soucier du bien-être de l’autre."

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37 ans d'expériences

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37 ans d'expériences

Aujourd’hui, j’ai 37 ans et je suis heureux. J’ai appris à l’être. Ça a commencé très tôt. Lorsque j’avais 7 jours, j’ai appris que pour soulager ma faim, je n’avais qu’à pleurer. Et comme par magie, un liquide onctueux et chaud apparaissait. Puis j’ai appris qu’en me dandinant sur la bedaine, en m’aidant de mes bras et de mes jambes, je pouvais ramper comme un vers de terre. Je me suis alors dit : « Et si j’essayais de faire ça debout comme les adultes? » Je me suis levé sur les genoux, je suis tombé, je me suis relevé. J’ai marché, quelques pas debout, puis je suis retombé sur le popotin. Et un moment donné, un déclic s’est fait, j’ai compris le concept de l’équilibre. Quelques années plus tard, j’ai intégré cet apprentissage pour apprendre à rouler à vélo. D’abord avec mes petites roues, puis sans. Je me rappelle un grand sentiment de liberté. Pour moi, partir avec mon vélo voulait dire que j’étais rendu grand.

 

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Féministe sur le fond

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Féministe sur le fond

Du plus loin que je me rappelle, j’ai longtemps ressenti un malaise face au discours de certaines féministes. Et je n’ai jamais vraiment osé dire mon opinion : ma belle-mère m’aurait sûrement accusé de manque de loyauté envers les femmes! OK, c’est vrai, je n’ai pas eu à me battre pour prendre ma place, mais le fait est que je me sens triste de constater l’état actuel des relations entre hommes et femmes sur notre belle planète.

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Apprendre, l'histoire de ma vie

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Apprendre, l'histoire de ma vie

Apprendre, ça sonne bien. Ça me dit que j’avance, que je chemine, que j’élargis mes horizons. Je crois même que c’est l’essentiel pour moi. Pas seulement d’accumuler les crédits, mais d’assimiler de nouvelles notions, de nouveaux concepts, des théories différentes. D’être en mesure de bien m’exprimer, de trouver les mots, d’élaborer des idées, d’être un esprit libre qui saura de mener sa barque à bon port.

Je suis sur les bancs d’école depuis un moment déjà. En fait, je n’ai pas encore lancé la serviette. D’un cours à l’autre, je vois l’horizon qui s’ouvre devant, les limites intellectuelles qui se repoussent, ma conception du monde qui évolue.  Je découvre des passions, des intérêts en tous genres, je connecte avec les gens et les courants.

Oui, j’ai déjà souffert du sentiment d’infériorité de ne pas être allée à l’université… Ce que je voulais après mon DEC, c’était travailler, être dans la cours des grands, tout de suite et maintenant. Une fois dedans, la game n’était pas la même. On me parlait comme à une junior. Ouf que j’aimais pas ça… Et je me suis dit : « Ouin ? Bin je vais leur montrer ! » Et voilà, ma demande d’admission à l’université était envoyée. À partir de ce moment, j’ai travaillé dur. Avec une job à temps plein. En congé de maternité. Avec tout le reste. Mais d’un cours à l’autre, la même fierté. Le même oumph qui me permettait de continuer.

J’ai appris que la théorie, ce n’est pas tout. Les expériences comptent tout autant. Alors j’expérimente tous les jours. Les recettes, les lectures, les entraînements, les méthodes d’éducation des enfants… Mes découvertes, de l’une à l’autre, me guident. Mes échecs eux, me font me retrousser les manches. J’ai appris que je suis à la bonne place, au bon moment.

On m’a déjà demandé quelles valeurs je voulais léguer à ma fille. Encore aujourd’hui, quelques années de plus derrière moi, les mêmes valeurs me reviennent : indépendance et autonomie. Non, ce ne sont pas des valeurs innées. Mes apprentissages m’y ont mené. Pour moi, c’est ça la liberté. Je me souviens de Diane, super maman, qui révisait sa comptabilité sur la table de sa cuisine. Et bien cette image, je souhaite la léguer à mon Emma, qu’elle puisse s’en inspirer à son tour.

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LES CHANGEMENTS QUI NOUS FORMENT

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LES CHANGEMENTS QUI NOUS FORMENT

La vie et ses opportunités, on ne sait pas toujours où le chemin va nous mener. Je me présente Viviane , jeune professionnelle, qui veut tout, tout de suite.  
J’ai toujours su que je serais en affaires un jour, mais quelle forme ça prendrait, je ne savais pas. 
On pourrait dire que c’était ma première vision à haut niveau. 

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3 trucs pour démarrer votre entreprise lorsque vous ne vous sentez pas prêt

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3 trucs pour démarrer votre entreprise lorsque vous ne vous sentez pas prêt

Il y a quelques jours de cela, je parlais à une nouvelle entrepreneuse qui me confia qu’elle et sa collègue éprouvaient beaucoup de difficulté à lancer de nouveaux services. “C’est comme si on attend toujours que ça soit parfait et qu’on ne se sent jamais assez prête.” Je me suis tellement reconnu en elle puisque je suis également une perfectionniste endurcie. Cependant, ce qui m’a aidé à (un peu) lâcher prise fut l’apprentissage d’une nouvelle langue, le Flamand, lors de mon séjour de 5 ans en Belgique. Au début, j’avais si peur de faire des erreurs que je ne parlais qu’en classe. Ceci faisait en sorte que je ne progressais pas. Lorsque je me suis aperçue que nos jumelles, de 4 ans à l’époque, parlaient mieux que moi, j’en ai eu marre et je me suis lancée à 100 km/h. Concrètement, en plus d’étudier, j’écoutais des émissions pour enfants en flamand, je parlais à des étrangers dans la rue (surtout à des retraités, car eux au moins, ils avaient tout le temps de me laisser finir mes phrases) et je faisais mes courses en parlant aux caissières en flamand. Faire quelque chose de nouveau, que ce soit d’apprendre une nouvelle langue ou de démarrer une entreprise, stresse tout le monde. Mais que faire lorsque vos craintes vous empêchent de réaliser vos rêves? Pour avancer, vous devez premièrement comprendre d’où proviennent vos appréhensions. Ensuite, demandez-vous ce qui va arriver si vous ne faites rien. Enfin, faites des pas de bébé.

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J'ai pas le temps... Ah oui?

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J'ai pas le temps... Ah oui?

La plus grande calamité de notre époque est sans contredit le manque de temps. 

C’est presque trendy d’en manquer. 

D’être coincé, d’être pressé, d’être stressé. 

Combien de fois on entend les : 
Ça-va-bien-mais-ça-va-vite. Je-suis-dans-le-jus. J’ai-couru-toute-la-semaine. J’ai-une-vie-de-fou. 

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Ces jugements que l'on porte sur nous

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Ces jugements que l'on porte sur nous

J’ai toujours aimé les tatouages, les gros tattoo. Les manches complètes, les oeuvres d’arts sur le corps, des oeuvres qui signifient une étape, une expérience, un voyage, des valeurs. Coeur de Pirate, je la trouve magnifique avec ses tattoo. 

Mais je me suis toujours dit que ça ne fitterait pas avec moi, une fille classique. Alors, je me disais qu’un jour je ferais le compromis d’un petit tattoo discret…

J’étais rempli de jugement envers moi-même.  Alors que j’affirme publiquement être ouverte d’esprit et sans jugement. 

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COMMENT PASSE-T-ON À L’ACTION?

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COMMENT PASSE-T-ON À L’ACTION?

Pour passer à l’action, il faut être conscient  de vouloir entreprendre dans un premier temps et ensuite, de devenir l’acteur de son changement, donc de ses actes.
J’ai décidé, cette année, de ne pas prendre de résolutions. Je ne vais m’imposer qu’une seule action, qu’une seule façon de faire. Pour m’ouvrir des horizons, j’ai opté pour travailler davantage mon intention. 

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LE PIED SUR LE FREIN

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LE PIED SUR LE FREIN

Pourquoi j’ai le pied sur le frein ? Qu’est-ce qui me pousse à faire 2-3 pas en arrière avant d’avancer ? C’est vrai en amour, en amitié et en affaires. Mon cerveau et mon cœur se battent constamment. Mon cœur dit : «  Vas-y, fonce ! » pendant que ma tête dit : « Attends un peu, on va peut-être (encore) se faire avoir! Peut-être que ça ne fonctionnera pas ? »  Et le hamster repart de plus belle.

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Yé! Je suis stressée!

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Yé! Je suis stressée!

Mais si on enrayait le stress? Si une injection magique faisait disparaitre pour toujours l’existence même du hérisson, des sueurs froides et du rongeage d’ongles?  En serions-nous plus heureux? 

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Ces messieurs qui osent parler

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Ces messieurs qui osent parler

Si beaucoup d’hommes alpha se levaient et osaient prendre le risque de protéger les femmes du monde entier. Si seulement, ils acceptaient cet immense et noble rôle, le monde, mes amis, serait tout autre. Le féminisme ne veut pas dire de castrer les hommes. Non, pas du tout. Il veut aussi dire d’accepter et surtout d’encourager les hommes à nous protéger. Et à protéger le message que les femmes du monde entier, de la petite fille à la mamie, méritent le respect, comme vous, messieurs.

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Fléchir et réfléchir

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Fléchir et réfléchir

Notre vie est un marathon de "réfléchissage": on réfléchitdans l'auto, au boulot... Même au dodo!   On cogite en équipe, on discute au dîner, on évalue en s'entraînant, on raisonne en réunion, on songe en soupant... Finalement on réfléchit TOUT LE TEMPS!

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