MA MONTAGNE INTÉRIEURE

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MA MONTAGNE INTÉRIEURE

Monter une montagne, c’est bien le fun. Mais descendre à l’intérieur de soi, ça, c’est le véritable défi. Bouger, courir, s’activer, c’est simple. S’arrêter et ne rien faire. Plus difficile. Stimuler son cerveau constamment. Être une personne occupée. C’est pas compliqué. Avoir l’esprit calme et profiter du moment présent. Sans penser à demain. Tout un challenge.

C’est rendu à la mode de dire : «  Je suis dans le jus. Je n’ai pas une minute à moi. Je travaille 70 h par semaine. » Mais entre vous et moi, je ne comprends pas l’idée d’être fier de ça.

Tu n’as pas de temps pour ta famille, pour tes amis et surtout pour toi. Et tu trouves ça normal ?

Après quoi cours-tu ? S’essouffler soi-même, c’est une excellente façon de ne pas s’écouter.

Loin de moi l’idée de faire l’apologie de la semaine de 20 heures ou même de 4 h . Je veux seulement comprendre. Et faire réfléchir. L’idée c’est de trouver un équilibre non ?

Si tu travailles tout le temps, tu as plus de liberté financière et moins de temps pour en profiter. Par contre, si tu as beaucoup de temps libre, car tu fais le choix conscient de moins travailler, tu as forcément moins d’argent pour voyager, t’acheter une voiture neuve et un chalet.

Mais comme disait Tyler Durden dans Fight Club : « Les choses que tu possèdes finissent par te posséder ! » C’est un peu contradictoire venant d’un gars qui travaille en publicité et qui vend des choses. Mais je suis capable d’être critique envers mon métier.  

Écrire de la pub et des sites web, ça paye l’épicerie, le loyer, le char et les vacances. Et j’aime ça. Mais écrire des poèmes, des billets pour ce blogue, mon roman, des nouvelles ou des textes pour les Recettes du bonheur, ça fait du bien aux gens. En plus, c’est valorisant.

Mais pour faire ça, je dois descendre au fond de moi. M’écouter. Me comprendre. Accepter mes zones d’ombre. Apprendre à les aimer, car elles sont source de créativité.

Mon sommet à moi, il mesure 6 pieds un pouce. Il a les yeux bruns et les cheveux bruns (pour ce qu’il en reste). Je dois m’entrainer chaque jour à surmonter mes peurs et à avoir plus confiance en moi. Je dois me battre contre moi-même. Lutter pour la survie de mes pensées positives. Chasser le hamster qui spinne dans ma tête. Oui, je peux chuter. Je peux manquer d’oxygène et souffrir. Tomber. Me relever. Et tomber à nouveau. Mais je continue d’avancer. Parce que demain, derrière chaque montagne, le soleil se lève à nouveau. 

Révision 

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Blâmer le temps - Ras le bol

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Blâmer le temps - Ras le bol

Il a le dos large, le temps, de ces temps là! "J'ai pas le temps!" On dirait que j'entends juste ça, constamment. J'en ai ras le pompon! Pus capable! Voici quelques conseils pour toi, le "manqueux" de temps.

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Travailler ensemble

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Travailler ensemble

"Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite." Henry Ford, industriel

Pour beaucoup, le travail en équipe est souvent synonyme de tensions, d’incompréhensions ou parfois même de conflits. Mais d’après leurs expériences, tous pourraient tout aussi bien affirmer que le travail d’équipe leur a permis l’une de leur plus belle réalisation dans le domaine du professionnel comme celui du personnel. La force du groupe, voilà la clé de cette réussite.

Se sentir membre d’un groupe est l’une des plus grandes satisfactions qu’un individu puisse connaître. Qu’il s’agisse d’une entreprise, d’une association ou tout simplement d’un groupe d’ami, se sentir appuyé dans ses idées est souvent l’élément déclencheur de grandes initiatives. Vient alors la question de confiance. Comment établir un cadre sécuritaire qui permette à tous et à toutes d’aborder certaines problématiques sans peur de jugement. Certains défis sont à prévoir lors d’un lancement de projet en équipe mais sans les membres qui constituent cette équipe,  le terme de « projet » n’aurait sans doute même pas pu être évoqué.

Mais un groupe c’est aussi et surtout un ensemble de personne, pouvant provenir de différents horizons, ayant acquis un certain nombre de traits de caractère. Ceci représente l’une des plus grande force d’une équipe. En effet, ce qui manque à l’un peut être apporté par l’autre et vice versa. Prendre conscience des forces et faiblesses de chaque membre constituent la première étape et sûrement la plus importante. Un sentiment de solidarité vient alors se greffer à chacun et c’est ainsi que naît la véritable force d’un groupe.  

Photo credit: gato-gato-gato / Foter / CC BY-NC-ND

VICTORIA PASCAL

Depuis longtemps intéressée par la condition féminine dans le monde, faire partie du comité LIFE s'est alors présenté comme une évidence. Mon rôle en tant que VP Conseil au sein de cette équipe me permet de faire des rencontres toujours plus enrichissantes les unes que les autres, mais aussi et surtout de me sentir utile en aidant les futures jeunes femmes d'affaires comme nous à se construire une carrière. Actuellement en première année de baccalauréat à HEC Montréal, je compte poursuivre mon implication au sein de ce comité aussi longtemps qu’il en sera possible afin de lui donner tout le rayonnement dont il mérite. 

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Une ascension de 25 ans

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Une ascension de 25 ans

Ce mois-ci, j'atteindrai tout un sommet ! Cela fait 25 ans que je travaille sur un objectif personnel et c’est en octobre que ça va se concrétiser. Pas besoin de vous décrire la fébrilité que je ressens et tout ce qui m’habite ces jours-ci. Tout a commencé dans la vingtaine quand j’ai vécu un éveil spirituel qui a duré quelques semaines. C’était une sorte de prise de conscience sur la vie et ce que j’aimerais donner comme sens à ma propre existence.

À ce moment, j’ai vu une forme de « sommet intérieur », mais à l’époque, je n’ai pas pu intégrer la puissance de cet état de manière concrète. Il a fallu que je me prenne là où j’étais, au « pied de ma montagne », et que je la gravisse graduellement, un pas à la fois, au fil des années. Que je traverse chaque obstacle et ruisseau, que je fasse les efforts nécessaires pour mériter le sommet afin de pouvoir savourer pleinement la satisfaction de l’avoir atteint.

Dans mon cas, ce sommet est principalement constitué de 3 éléments :

-          Vivre à partir de mon intériorité en l’exprimant à l’extérieur, au lieu de chercher à combler un vide intérieur à l’aide de choses extérieures ;

-          Être autonome affectivement et me nourrir de mon amour pour moi et mon entourage ;

-          Faire un métier qui me fait vibrer plutôt qu’une job parce qu’il faut gagner notre vie.

J’approche maintenant l’âge de 50 ans, mon milieu de vie, l’âge d’or selon la société, cet endroit où on arrive au sommet de notre vie et à partir duquel ça redescend par la suite (je ne crois pas à l’aspect descente). Et voilà que les 3 éléments précédents s’aligneront ce mois-ci, un peu comme les 3 principaux astres de notre vie l’ont fait tout récemment : le soleil, la terre et la lune, donnant lieu à un superbe spectacle de lune rouge.

Un spectacle… Oui, comme celui que je vais donner ce mois-ci ! Mon sommet se manifeste par le lancement de mon tout premier spectacle sur scène en tant que conférencier-chanteur. Un spectacle qui parlera d’intériorité, d’amour de soi et des autres, de vibration personnelle et plus. Une nouvelle carrière qui commence pour moi et qui correspond réellement à qui je suis dans mes tripes.

Ce spectacle est l’aboutissement concret de mon cheminement vers mon sommet depuis ma vie adulte. Et ce n’est qu’un début, car lorsqu’on gravit un sommet, on a souvent envie d’en gravir un autre à cause de la sensation d’extase et de réussite qu’on a vécue.

Un sommet qui mènera à un autre comme dans une chaîne de montagnes, car la vie est un chemin et qu’il n’y a pas de fin en soi puisque nous sommes tellement immenses, je dirais même infinis ! Pourquoi se limiter à un seul sommet quand il y a tant de choses à voir et dont on peut prendre conscience lorsqu’on monte un peu plus haut et qu’on va un peu plus loin. Chaque sommet élargit notre conscience et nous fait grandir, à l’image de la grandeur du sommet qu’on a gravi. À chaque sommet, on apprend à s’aimer davantage, car on réalise qu’on est vraiment capable de bien des choses, grandes, belles et majestueuses, bien plus qu’on ne le croyait.

Je vous souhaite de définir Votre sommet, si cela n’est pas déjà fait, et de trouver le sens de votre vie. Cela fut très difficile pour moi, car je partais de loin à cause du contexte de mon enfance et de mes insécurités profondes. C’est en suivant ma lumière intérieure que j’ai trouvé des réponses. Elle m’a guidé vers mon sommet, car le soleil brille toujours en haut de celui-ci, au-dessus des nuages. De cet endroit, on y voit encore mieux notre lumière et on sent aussi le vent de votre vie.

Bonne ascension!

RÉVISION Josée Goupil

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Le deuil - Lettre à mon père

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Le deuil - Lettre à mon père

Dans mon enfance, tu semblais TOUT SAVOIR.  Tu avais réponse à tout! Ton départ m’a appris le deuil. Le vrai. Ton absence m’a laissé sans réponses sur ce sujet.  Mais malgré tout j’ai surmonté cette épreuve.

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Rose Dufour

Vers la fin de juillet dernier, j’ai eu le privilège de rencontrer seul à seul Madame Rose Dufour, Directrice générale et fondatrice de la Maison de Marthe. C’était tôt le matin et Madame Dufour avait déjà commencé sa journée qui allait être une fois de plus très chargée. La voyant arriver, je me suis immédiatement posé la question : mais pourquoi donc cette personne qui est en mesure de prendre sa retraite se donne-t-elle encore autant ? J’ai vite trouvé la réponse.

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 ''People in my lense''

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''People in my lense''

Des défis, il y en aura toujours. Des petits, des grands, des plaisants qui font tripper et ceux qui nous font peur ou pleurer. Il y a aussi ceux que l’on s’impose et ceux qui nous sont imposés. Mais nous en avons tous un en commun, soit celui de réaliser nos rêves à la hauteur de nos ambitions.

Samedi le 10 octobre prochain, j’entreprends un défi dont les mots clés sont trippantrêve et ambition (rires). Je vous explique.

J’ai commencé à avoir l’idée de combiner photographie et voyage il y a déjà un bon moment. Au fil du temps la vie m’a fournie des clés (je les cherchais aussi), jusqu’à ce que je vois une synchronicité évidente s’installer. J’ai donc accepté cette opportunité de concrétiser la combinaison de mes idées et de mes rêves et j’ai créé le projet « People in my lense ».  

Le concept est simple et inspiré de Humans of New York que l'on aime tant. Ma caméra à la main je parcourrai des territoires pour vous les présenter à ma façon. Au travers ma lentille vous verrez les gens, les paysages, la vie. Ce projet est fait de portraits, de regards, de gens uniques que je rencontrerai sur ma route. Je logerai chez l'habitant, dans les campings et quelques hôtels.

Pour moi, « People in my lense » c'est la vie, le brut et le vrai, c'est le présent comme je le rencontrerai.

Le 10 octobre débutera donc le premier défi d'une série qui ira au fil du temps, comme la vie me le permettra. Suivez-moi pour le Canada, un beau clin d'oeil à ce pays en cette période d’élections fédérales.

Vous pouvez me suivre via

Facebook - Le Blogue

Pour en parler : #PIMLCanada

Crédit Photo : Stéphane Audet

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Apprendre à vivre à la demi-heure

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Apprendre à vivre à la demi-heure

Avez-vous déjà remarqué à quel point le temps passe vite?
 
Souvent, on met plein de choses à notre «TO DO list» … Pis on capote, car plus on en fait, plus on en rajoute.
 
Tout ce qu’on sait… C’est que nous courons encore après le temps qui passe en quête de réussir à tout faire à temps…
 
À temps de quoi?
 
Nous sommes nos propres barrières. Trop souvent, on se met des «DEADLINES» qui nous sont propres. On se met de la pression quand il n’y en a pas, mais c’est comme ça que nous avançons, un stress à la fois. En fait, c’est une façon de s’occuper et de ne pas simplement être. On fuit peut-être le temps qui passe ou notre qui temps qui passe… Qui sait?
 
Le temps, c’est notre bien le plus précieux, on s’en rend compte quand on court et on le sait aussi quand on prend notre temps.
 
D’un autre côté, quand nous avons du temps… AH! le temps...
On a tellement peur de le perdre, de s'ennuyer, de manquer quelque chose ailleurs.
 
Pas facile notre paradoxe humain!
 
Alors quand on sait que nous avons le temps de prendre notre temps pour faire les petites choses que nous souhaitons faire… On tombe ainsi dans une zone de calme… On peut faire les choses, mais les faire de façon plus inspirée, moins forcée, plus naturelle et au moment qui nous semble opportun. Ainsi, nous avons de nouvelles idées, de nouvelles inspirations et on se rend compte qu’en pensant juste à «être», les perspectives changent.
 
Ce sont les expériences qui nous font comprendre et vivre différemment.
 
J’ai eu la chance de vivre un séjour plus qu’enrichissant au sommet du Québec, dans notre Grand Nord québécois: une semaine à Kuujjuaq.
Moi qui suis fervente de découvrir de nouvelles cultures et de vivre de nouvelles expériences, je ne pouvais que dire oui à mon amie Marie-Hélène Caron lorsqu’elle m’a invité à partager son quotidien.
 
J’étais fébrile à l’idée de visiter cette partie du Québec que trop peu de gens auront la chance de visiter. Je suis privilégiée.
 
Dans ma préparation, j’apporte des vêtements chauds (bien sûr!), beaucoup de lecture ainsi que mon ordinateur pour avancer mes dossiers, continuer mes suivis et écrire… Car je ne prends justement pas assez le temps avec cette fameuse liste «TO DO» de la vie quotidienne.
 
Je me dis: «Enfin une semaine pour moi, profiter de la vie, faire de la randonnée, découvrir la culture Inuit et surtout me mettre à jour dans ma créativité, dans un lieu calme»… J’avais oublié à quel point être là, ici, maintenant, faisait du bien, mais que j’étais encore sous l’effet de la vie rapide de la ville.
 
J’ai vite saisi qu’oups! la vie ici n’est pas nécessairement ce que nous prévoyons. La vie au Nord se vit au gré des humeurs de mère Nature et de ses habitants. On ne choisit pas nécessairement qu’est-ce qu’on fait et quand.
 
Nous avions beaucoup de projets pour cette semaine à venir, plein de potentiel à découvrir… Chaque projet, tour à tour, a été reporté. Par exemple:
 
1- Faire du camping: beaucoup trop pluvieux et instable pour une première expérience en camping d’hiver, et nous n’avions pas d’armes!
2- Faire un feu pour apprécier les aurores boréales: toujours nuageux en soirée ou simplement trop pluvieux, même si le soleil était des nôtres en plein jour;
3- Prévoir une activité traditionnelle avec une famille locale: à la dernière minute, changement de plan. On reporte le tout à 24 heures plus tard. Le lendemain? Un léger délai d’une heure pour gestion d’un trouble familial. Ici, on comprend que peu importe la façon dont on s’y prend pour réaliser un projet, l’important est le résultat final!
5- Essayer d’avancer des dossiers: parfois difficile avec Internet qui fait des siennes;
6- Communiquer sans réseau cellulaire: si on n’est pas à domicile, on ne peut pas communiquer. Il faut simplement attendre et se rejoindre. On travaille notre patience et une meilleure communication;
7- Avoir bien des ambitions: mais l’air du Nord nous a tellement fait du bien que la fatigue se fait trop forte.
 
Après tout, on ne peut rien y faire…
 
Bref, ici, j’apprends à vivre ma vie à la demi-heure.
 
Merci pour ces moments présents et plaisants…
 
J’espère revenir des pays d’en haut avec cet apprentissage au creux de mon coeur.
 
Viviane

Crédit Photo : Jean-Philippe Dubois

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SI LE SOMMET TE SEMBLE LOIN, RAPPROCHE-LE DE TOI

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SI LE SOMMET TE SEMBLE LOIN, RAPPROCHE-LE DE TOI

Croyez-vous que notre vie nous a choisis ? Que tout est déjà planifié ? Croyez-vous au desti? J’y croyais avant ! Avant que je reprogramme ce dont j’imaginais qu’elle avait choisi pour moi.

La fascinante quête de mon sens m’a apporté les réponses lorsque j’ai décidé de choisir ma vie à mon tour et en être responsable, chaque jour.

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Julie Grenier

Chère Julie,

Au moment d’écrire ces quelques lignes, l’inspiration me manque. Je sens que la barre est haute. Je décide d’y aller avec mon cœur, c’est ce que je fais de mieux.

Nous nous sommes rencontrées il n’y a pas tellement longtemps (too little, too late). Je venais de terminer la lecture de ton livre et il fallait que je te rencontre pour souligner ton immense talent à toutes les Femmes Alpha qui nous suivent. Il fallait que tout le monde sache que ton roman est la meilleure chose après le pain tranché.

Je voulais aussi souligner à quel point tu es une femme formidable, une femme d’exception. Parce qu’on a jamais trop de modèles.

Même si tu as déjà lu ce billet, j’aurais aimé que tu le vois en ligne. Je l’ai écrit avec beaucoup d’admiration. Tu fais partie des femmes qui ont marqué ma vie, je t’en remercie.

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RÊVER AVEC L’EFFET BOOMERANG

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RÊVER AVEC L’EFFET BOOMERANG

Un samedi après-midi d’avril en 2014, j’ai rendez-vous à Québec pour mon premier Dreamclass.  Invités par Geneviève Young à venir partager notre rêve, on m’avait expliqué qu’un Dreamclass, c’est l’occasion unique de pouvoir LE dire HAUT et FORT à plus de 100 personnes et que quelqu’un dans la salle me tendrait certainement la main pour m’accompagner vers sa réalisation.  Arrivée seule, je reconnais quelques figures de la région, mais je ne connais pas leur histoire.  Assignée au hasard à une table, mes premiers contacts de la journée se révèlent être avec des personnes attentionnées et enthousiastes.  Un jeu de société, c’est bien ça : j’ai l’impression de me retrouver dans un grand ENJEU de société et moi qui suis une adepte de ce type de plaisir, je lance les dés.  Fébrile, enjouée, amusée, excitée pendant plus de 3 heures à écouter et à me livrer. 
Vous connaissez cette sensation d’être porté par la vague?  Cette sensation de légèreté, de facilité et de lâcher-prise? Les dauphins utilisent  ce moyen afin de se propulser sur l’eau et ainsi, arriver à destination sans être exténués. Ils nagent dans le sillon laissé par les membres de leur clan ou celui d’un bateau et les bébés, pendant quelques années dans celui de leur mère.  Imaginez une vague d’amour qui déferle sur moi, des invitations à surfer aussi longtemps que j’en aurai envie.  C’est moi qui crois rêver !
La loi de l’attraction est vraiment l’effet boomerang. Chaque pensée et chaque chose que l’on dit reviennent à leur émetteur. Vous diffusez en permanence des pensées et des émotions : c'est l'action. Ce qui vous revient, c'est la réaction. Vous êtes comme un aimant. Vous attirez à vous ce que vous pensez et ressentez. Ce qui veut dire que tout ce que vous pensez vous revient invariablement, tel un boomerang!  Si, par exemple, vos pensées et vos sentiments envers la vie sont remplis d'amour, d'abondance et de joie, c’est exactement ce que vous récolterez de la vie.
L’effet boomerang nous invite donc à entourer notre vie de personnes, de conditions et d’environnements favorables à la vie que nous désirons réellement accueillir. On récolte vraiment tout ce que l’on pense et fait avec ses pensées.
Melki Rish

Et c’est quoi ce fameux rêve ?   
Je le porte en moi et il m’accompagne tous les jours depuis plusieurs mois.  Il occupe mes pensées même dans mon sommeil. Parfois, il est paisible, tout est calme, rien ne bouge.  Parfois, il s’agite un peu et je peux sentir qu’il s’étire, qu’il réclame de l’espace, un peu plus.  Je le sens et ressens, il ne pourra demeurer encore longtemps à l’intérieur. Il devra voir le jour, la lumière.
Mais enfin, c’est quoi ?  Recevoir l’enseignement de celle que j’appelle affectueusement la Fée des bébés pour offrir, à travers le Québec, un bain bonheur au nouveau-né et à ses parents: le Thalasso Bain Bébé par Sonia Rochel-Krief.  Elle vit de l’autre côté de l’océan et a eu l’occasion de faire de la formation dans les maternités privées en France, jamais grand public, encore moins en Amérique du Nord.  Avec le temps, nous apprenons à nous connaître via Skype, à partager sur notre rêve commun et à espérer le réaliser un jour.   L’entretien de sereines pensées pour ce projet a créé un ancrage définitif. Il suffit de lancer le boomerang.    Cette journée d’avril 2014, les quelques premières contractions ressenties étaient bien réelles.   Le projet a vu le jour en juin, le rêve devenu réalité.  Eh oui, j’ai pleuré de joie !
OSEZ vous livrer sans retenue pour que la force du groupe vous soulève.  De parfaits inconnus qui souhaitent vous accompagner vers le succès, seulement parce que vous avez partagé votre rêve?   Et ils n’exigent rien de vous? Ils n’ont aucune attente?  Ils ne sont pas dans mes rêves, ils existent réellement.   Cet événement m’a secouée, un lien d’amour s’est créé à vie avec les Geneviève Young, Joelle Boutin, Patricia Dubé, Mireille Lévesque, Andrée Trempe, Sylvain Roy, Denis Caron et bien d’autres.  Je ressens la même intention des Vivianne Graillon, Raphaelle-Ann Samson, Brian Dubord, Anne Lemieux, Ghyslaine Litière, Sarah Baribeau, Christine Marcotte, Mélissa Veilleux et bien d’autres à venir dans ma vie.
Donnez au suivant et vous n’y perdez jamais, promis !

RÉVISION Josée Goupil

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Le Tricheur

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Le Tricheur

Il n'y a rien de plus beau que de voir une classe entière de jeunes se questionner. Après plus de 15 ans à observer mes élèves en évaluation, leurs réactions devant un questionnement, une problématique, me font encore sourire de bonheur. 

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APPRENDRE À S'APPRIVOISER

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APPRENDRE À S'APPRIVOISER

Certains moments méritent d’être vécus en groupe, mais c’est tout aussi important d’apprécier le temps passé avec soi-même. Cette pause permet de prendre conscience de qui nous sommes vraiment en tant qu’individu et de ne pas se définir à travers les autres. 

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Relations d'affaires: 15 choses que vous apprendrez "su'l'tas"!

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Relations d'affaires: 15 choses que vous apprendrez "su'l'tas"!

Vous êtes en affaires, vous travaillez sur un projet, organisez un événement, vous êtes passionné… Toutefois, certaines personnes, certaines situations, viendront y mettre une ombre au tableau et feront en sorte, volontairement ou non, que des embûches se retrouveront sur votre parcours.

À cet effet, bien qu’empreints d’un réalisme brut, voire même d‘un négativisme qui clash un peu avec la majorité des billets mis en ligne sur ce blogue, les 15 points suivants sont tirés de différentes expériences et vous sont livrés pour consommation immédiate.

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MON EGO ET MOI

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MON EGO ET MOI

J’aime travailler seule, pour la simple et bonne raison que je manque carrément de patience lorsqu’il est question d’attendre après quelqu’un pour qu’une chose soit faite. Souvent, je juge qu’elle n’est pas faite comme moi je l’aurais faite. Donc, j’ai de la difficulté à déléguer. C’est dans mon tempérament. En fait, c’est mon ego.

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KARINE LAFLAMME

Active au sein de l’entreprise familiale depuis bientôt 25 ans, c’est au cours des cinq dernières années que Karine Laflamme a assumé son leadership entrepreneurial de façon plus marquée. Lié au recadrage de certaines valeurs et priorités sur le plan personnel, ce tournant est aussi le début d’un nouveau chapitre de vie marqué par la détermination et la foi que tout est possible.

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Ce besoin qui me "pogne" souvent

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Ce besoin qui me "pogne" souvent

Levez la main ceux et celles qui n’ont aucune dépendance ? Je vous envie Je parle ici de comportements à nature compulsive qui semblent nous envahir et dans lesquels nous ne nous sentons pas tout à fait libres, et non des besoins normaux reliés à notre vie quotidienne. C’est donc la notion de liberté qui fait toute la différence. La « nécessité de l’objet du désir » aux yeux de l’individu est la symptomatique du degré de dépendance et des impacts de celle-ci dans sa vie, notamment au niveau de son bonheur. En tant que passionné de neurosciences, j’ai décidé de faire le tour de la question du point de vue du cerveau afin d’y voir plus clair. Je vais vulgariser les résultats de mes trouvailles pour rendre le tout plus comestible.

Notre cerveau est un organe capable d’apprendre et de s’adapter dans le but d’accroître les chances de survie de l’organisme. La Nature a créé un système spécifique dans le cerveau afin d’assurer ce processus d’adaptation. Il s’agit d’un système « de survie » composé de 2 circuits intimement reliés :

- Le circuit de récompense : mis en branle pour répondre à nos besoins;

- Le circuit de réponse aux stress : mis en branle pour les réduire le plus possible.

Lorsque le système de survie se dérègle à cause de certains stress de la vie, il peut se mettre à fonctionner sous forme de pulsions. Certaines d’entre elles peuvent devenir difficiles à contrôler, car elles sont faites de signaux neurologiques puissants, traités de façon prioritaire par le cerveau puisqu’ils émanent sur notre système de survie ! Notre cerveau interprète donc le besoin sous-jacent comme une nécessité à remplir… et nous nous mettons à manger cette crème glacée dont nous ne pouvons pas nous passer. Pour faire une histoire courte, les dépendances sont des adaptations maladives du cerveau à des conditions de stress antérieures, un genre de dérèglement de son fonctionnement normal.

Mais est-ce permanent ? Quoi faire pour réduire les épisodes de « craving » et retrouver notre pleine liberté ? La solution consiste à permettre au cerveau de retrouver son état d’équilibre sur le plan neurologique, ce qu’on nomme aussi l’homéostasie. Le débalancement doit donc être corrigé. Plus facile à dire qu’à faire, mais voici quelques pistes :

  • Diminuer l’exposition au stress négatif dans notre vie et/ou faire des activités qui permettent de l’évacuer;
  • Tisser des liens sociaux positifs et développer un sentiment d’appartenance à une communauté aimante;
  • Faire des activités ou des choses qui contribuent à l’augmentation de l’estime et de l’amour de soi;
  • Adopter de saines habitudes de vie (alimentation, exercice, repos, relaxation).

Ce sont des exemples simples, mais qui ont un impact profond sur le bien-être et qui conditionnent les circuits cérébraux à produire les bons neurotransmetteurs en quantité suffisante. Il existe des moyens plus élaborés pour les cas de pathologies, mais n’étant pas médecin, je m’arrêterai ici.

Pour les maniaques de science, je vous invite à lire l’article complet que j’ai écrit sur le sujet et qui est disponible sur demande en me contactant à info@inaq.org

Bonne route !

Révision Josée Goupil

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Suzanne Gagnon

Et bien au côté de  ce grand chef, se cache une femme exceptionnelle, à la vivacité d’esprit et le sens de la répartie hors du commun. Une femme transparente et authentique qui n’a pas peur d’être simplement elle, vibrante et touchante. Suzanne Gagnon est l'un des piliers du Laurie-Raphaël et de l’entreprise remarquable qui a été construite autour du talent de son mari.

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CES ENNEMIS QUE L’ON APPREND À AIMER

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CES ENNEMIS QUE L’ON APPREND À AIMER

Récemment, deux personnes de mon entourage – même pas proche !- m’ont empoisonné la vie sans même s’en rendre compte. J’étais littéralement habité par elles. Mais comment faisaient-elles pour m’atteindre autant sans même en avoir conscience ? Pour tout vous dire, elles ne faisaient pas grand-chose, ou du moins elles ne me faisaient rien directement, mais elles étaient devenues un centre d’attention permanent si bien que je passais une bonne partie de mon temps à décortiquer leur façon d’être. Dans mon cours de psychopathologie, on appellerait cela une obsession. 

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