Une passion pour les Badass comme Lance Armstrong

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Une passion pour les Badass comme Lance Armstrong

La course de trail rejoint profondément mon côté underdog et badass (voir définitions plus bas), mon côté let’s be free and explore the world et mon désir profond de me dépasser et d’atteindre mon plein potentiel, et ce même si je dois en souffrir.

Mais surtout, il touche à ma conviction profonde qu’on a tous, à un moment ou à un autre dans la vie, droit à une seconde chance, même quand on est un badass baveux comme Lance Armstrong.   

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Colette Normandeau

Quelque 800 mots qui, au final, me plaisaient plus ou moins… Trop ordinaire.

S’il y a une chose que j’ai retenu de cet entretien, c’est l’importance de s’écouter, de porter attention à ses feelings et d’être aligné avec ses valeurs, avec ce qui nous fait vibrer et ce qui nous satisfait.

Bref, d’être sur son « X ».

J’ai donc entrepris de métaphoriquement chiffonner mon premier texte et de réécrire le portrait, d’y aller sans vraiment penser, en écriture quasi automatique, ce qui a spontanément donné la majeure partie des 500 mots précédents.

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Marilyne Petit

J’ai eu l’occasion de rencontrer Marilyne le temps d’un café, mais je dois avouer que la soirée aurait pu facilement s’éterniser (si ce n’était du fait que je devais aller mettre ma progéniture au lit). J’ai passé un agréable moment. Je dirais même que j’ai passé un moment apaisant. Après une heure en sa compagnie, je peux confirmer que Marilyne Petit n’a de petit que le nom ! Elle est décidément une femme accomplie qui porte beaucoup de chapeaux à la fois : femme empathique, maman dédiée, brillante femme d’affaires. Mais par-dessus tout, elle est vibrante et forte des expériences qui se sont présentées sur sa route.

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Quand l'autre est une projection de soi

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Quand l'autre est une projection de soi

Les gens qui me connaissent assez bien savent comment j’ai lutté (et que je lutte encore parfois) avec une problématique de dépendance affective. L’omniprésence d’une mère pour qui j’étais tout et l’absence de mon père sur le plan affectif ont été un terreau fertile pour que je développe une psyché dans laquelle le couple est idéalisé et constitue LA solution à plusieurs questions de nature existentielle comme : le sens de ma vie, mes besoins d’amour et d’estime, ma place dans ce monde, etc. Cela fait beaucoup à porter pour ce couple et la marche est haute pour trouver la bonne conjointe. De plus, comme ces éléments sont essentiels au bien-être de tout individu, être en couple devient une priorité quasi absolue sinon c’est le gouffre. Cela mène à choisir une partenaire de manière compulsive, car il le faut à tout prix, et on se ramasse souvent à faire des compromis et accepter dans notre vie une personne qui ne nous convient peut-être pas.

Cette recherche du couple dans ma vie a engendré beaucoup de souffrance en moi et m’a amené à me questionner sur ma façon d’aborder la vie amoureuse. J’ai dû consulter à maintes reprises et travailler beaucoup sur moi. J’aimerais partager avec vous ce que j’ai appris sur cette route sinueuse en espérant que cela servira à d’autres. Alors voici un résumé de mes constats sur mon chemin de mieux-être.

Après 30 ans de tergiversations conjugales, je reconnais maintenant que la projection de mes besoins personnels sur une autre personne, en l’occurrence une conjointe, charge la relation de plusieurs attentes et nuit à son développement dans un contexte d’adulte à adulte. Cela, je le comprends maintenant avec le cœur, bien longtemps après l’avoir compris avec ma tête. Bien sûr, nous avons tous des manques et personne n’a eu suffisamment ni trop de ce qu’il (elle) avait besoin pour se développer de façon saine. Mais en tant qu’adulte, je sens et j’accepte maintenant que c’est avant tout ma responsabilité personnelle de m’occuper de moi et de répondre par moi-même à mes besoins fondamentaux qu’ils soient physiques ou psychologiques tels que :

- me « loger »… trouver ma maison intérieure, ma sécurité affective et ma place dans ce monde;

- me « nourrir »… me donner l’amour de base dont j’ai besoin pour vivre ainsi qu’un travail qui donne un sens à mon existence;

- me « vêtir »… me procurer ce qu’il me faut pour me protéger des intempéries de la vie.

Quand je regarde partout dans la nature, je constate que les animaux adultes s’occupent d’eux-mêmes. Cela est donc ainsi et l’humain doit aussi le faire tant sur le plan physique que psychologique, car nous avons un être extérieur ET un être intérieur dont on doit s’occuper. En cherchant des réponses chez les autres et par les autres, on n’obtient souvent que de la frustration comme résultat, car la vie n’est pas faite pour fonctionner de cette manière. Une relation qui serait à l’image de ma psyché, bâtie en jeune âge à travers des relations parentales extrêmes (trop d’un amour maternel infantilisant et pas assez d’un amour paternel aidant) sans vouloir les blâmer, n’est qu’un rêve idyllique synonyme des espoirs d’un petit garçon qui n’a pas obtenu réponse à ses besoins véritables. Elle n’a pas sa place dans la réalité, car le monde ne tourne pas autour de moi.

Si je suis venu sur terre ne serait-ce que pour apprendre cela, je vous jure que cela aura valu la peine, car croyez-moi, je suis parti de loin à l’âge de 18 ans. Mais ce n’est que le début, je crois, car elle m’a donné 2 enfants à qui je veux montrer la valeur de leur vie et le mérite de la bâtir. Cette vie est merveilleuse pour nous mettre en situation de croissance et il s’agit d’ouvrir les yeux pour reconnaître ses enseignements. Et la joie résultante des efforts que l’on fait est de loin supérieure aux épreuves traversées.

Bonne route !

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Johanne Devin

Je vous présente, à ma manière, une femme d’affaires et de plein air, une entrepreneure de cœur, aimée et engagée, mère de deux univers...

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PARCE QUE LA VIE EST MOUVEMENT....

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PARCE QUE LA VIE EST MOUVEMENT....

Parce que la vie est mouvement, qu’il y a trop d’espace et pas assez de temps… Parce que la routine est mon ennemie, l’aventure ma meilleure amie et la liberté, mon style de vie…


C’est pour toutes ces raisons que j’ai pris une grosse décision… Celle de quitter la vie de bureau, le 9 à 5, les heures passées en tête-à-tête avec mon portable à me demander pourquoi je ne suis pas en train de vivre mon rêve. Mon rêve, c’est d’être libre, de voyager, de vivre de ma passion, de rencontrer des gens de partout dans le monde, de discuter de choses vraies, de découvrir, d’apprendre… Et de faire tout ça en flip-flop. Le monde du tailleur et du veston-cravate m’est étranger et le sera toujours. Je choisis le sourire honnête d’un inconnu dans la rue à la poignée de main trop peu sincère de toi, Ô toi au poste si prestigieux. 


Je pars donc dans moins de deux semaines vivre mon rêve en ouvrant mon auberge au Costa Rica. Je fais le grand saut… À 32 ans, il vient un moment où tu te dis que c’est là ou jamais. On peut toujours attendre: attendre d’avoir plus d’argent, attendre d’être prêt, attendre de trouver une meilleure option. Mais pendant qu’on attend, le temps, lui,  n’attend pas… Il continue de passer et nous file entre les doigts... La vie est trop courte pour attendre. Il faut risquer, il faut vivre, il faut oser. Il faut aller au bout de ses rêves, repousser ses limites et trouver ce qui nous fait vibrer. 


Alors je pars suivre le soleil, suivre ma voie, suivre mon cœur. Je pars « dans le vent »  ouvrir mon auberge et VIVRE. Parfois, il suffit de croire en soi, de choisir sa voie, de mettre le cap dans la direction désirée… Puis le vent se chargera de nous y amener. Personne n’a dit que ce serait facile de naviguer sur l’océan de nos rêves. Contre vents et marées, il faudra avancer. D’un autre côté, avez-vous déjà eu la chance de voir le soleil se lever sur l’océan, ou même s’y coucher? L’avez-vous déjà regretté? 


Alors sur ce, bon voyage, car « Rester c’est exister, voyager c’est vivre » . 

Révision Josée Goupil

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Prendre le temps de contempler la vie

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Prendre le temps de contempler la vie

Quand j’ai commencé l’écriture de ce texte, le ciel était nuageux, très nuageux même. Voilà qu’en mettant le point final, un magnifique soleil s’approprie le ciel de la campagne où j’habite. C’est une tout autre lumière qui éclaire ce paysage rustique où traînent ici et là quelques balles de foin près du champ de maïs.

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Lucie Douville

Qu’est-ce qui rend Lulie Douville si inspirante ? Certes, elle possède un parcours remarquable. Elle mène de front vie familiale et vie professionnelle, elle est la fondatrice du magazine VIVRE qui existe depuis plus de 15 ans, elle interview les plus grands, etc.

Mais ce qui la distingue bien plus que ses réalisations et qui la rendent admirable, ce sont ses qualités humaines. Il suffit de côtoyer Mme Douville quelques instants pour ressentir la chaleur humaine et la bonté qu’elle dégage. 

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L'entrée de la maison hantée

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L'entrée de la maison hantée

Épris par mes démons émotionnels, j’ai décidé de prendre une toute petite porte pour entrer dans ma « maison hantée », que je nomme la porte A pour : Accueil, Acceptation et Amour… de moi et de ma vie tels qu’ils sont et tels qu’ils se présentent, plutôt que de la façon que je voudrais qu’ils soient. J’aurais pu dire Âme aussi car c’est pareil et ça demande un bon lâcher prise de la part de l’ego qui fait tout ce qu’il peut pour ne pas se soumettre !

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Ton trop, mon pas assez

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Ton trop, mon pas assez

J’écoutais l’hommage lors des funérailles de ma tante que l’on décrivait comme une mère et une femme exemplaire, travaillante, érudite, aimante et talentueuse, d’humeur égale, quand je me suis mise à imaginer le message que livreraient mes proches lors de mon décès, vers l’âge de 92 ans et demi (suite à une mauvaise chute lors de mon 42e marathon). Moi qui essaie de TOUT faire, d’être TOUT à la fois, de garder le sourire malgré TOUT, serai-je décrite comme une personne exemplaire? L’ «humeur égale » ne sera jamais dans la description, ça, c’est certain! Mais est-ce que j’essaie trop? Est-ce que j’en fais trop ou juste assez?

Être  femme, fille, mère, conjointe, amie, sportive, employée ou entrepreneure, on m’en parle souvent, c’est beaucoup et c’est ça la vie, non?! On fait tous des choix, mais il est rare que l’on n’ait pas une couple de « vies » en parallèle.

« Comment tu fais? »

Est-ce que la société tend à valoriser le « moins en faire »? Est-ce que, dès que l’on roule à un rythme actif, on est vu comme en faisant trop? Est-ce la jalousie, ou la peur, qui font en sorte que l’on se fait questionner, même critiquer sur notre travail acharné ou notre vie active? Ou est-ce notre propre besoin de nous faire apprécier, aimer des autres, sous toutes nos facettes, qui nous pousse à travailler fort pour mettre en lumière tous nos talents? 

« Tu vas te brûler! »

Bien oui, ça se peut… Je travaille fort… À ralentir... Mais ça aussi c’est du travail! Le stress, la peur des effets du stress, c’est un petit nuage gris qui me suit constamment. Il porte ombrage à mes succès. Oui, le stress use la santé, j’en suis consciente. Mais le stress du défi nous fait aussi prendre conscience du moment présent, il nous fait sentir vivant.

« Pagayer dans la gravelle »

C’est l’expression qu’utilise mon conjoint à mon propos. Mon père, lui, décrivait ainsi ses enfants : « mon fils se laisse couler dans le courant, ma fille nage à contre sens. »  Je me questionne toujours… Est-ce que je vais nulle part? Ma créativité me mène ailleurs, hors des sentiers battus. Je mets beaucoup d’effort dans tout ce que j’entreprends. Il n’y a pas de mal à faire des efforts, non?

« Es-tu hyperactive, coudonc? »

Un terme bien à la mode! Est-ce que l’on disait ça à nos ancêtres qui défrichaient à la hache, bâtissaient leur maison de leurs mains, fabriquaient leurs propres vêtements, leurs propres pain et beurre, qui vivaient de la terre et travaillaient 365 jours par année bien avant le TGIF? Est-ce que leurs voisins leur demandaient autour d’une p’tite bière d’épinette si on leur avait diagnostiqué un TDAH? Est-ce que comme société, on se l’est donné plus facile et donc toute personne qui travaille un peu plus fort est jugée anormale? La passion pour son travail peut se transformer facilement en obsession, j’en conviens. Mais est-ce que « travailler fort » est maintenant vu négativement? 

YOLO vs FOMO

« You only live once » vs « Fear of missing out »

On vit dans un monde où l’on est bombardé de possibilités. Pour une personne créative, cet influx est comme du « miracle grow » sur les stéroïdes. Des idées, des projets, des activités poussent SANS ARRÊT dans mon cerveau comme de la mauvaise herbe. Est-ce je souffre d’une peur de rater une occasion? Ou est-ce que je n’ai qu’une vie à vivre donc j’en profite pleinement? Peut-être un peu des deux. Dans le jardin de mon imaginaire, il y a peu de limites, j’ai donc de la difficulté à ne pas trouver superbe l’entièreté du paysage coloré de mon imagination. Alors, pourquoi ne garder qu’une seule espère de fleur quand on peut cultiver tout le jardin avec un peu de travail (OK, beaucoup de travail!).

À vouloir faire tout, est-ce que j’en fais trop? Ou est-ce que le trop des autres est juste comme mon « pas assez »?

Ne reste qu’à « travailler » à trouver les réponses.

Révision Josée Goupil

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Je suis Pat

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Je suis Pat

Être soi-même, c’est se donner le pouvoir d’être heureux. Car personne ne dicte tes choix. Si je veux enfiler mon costume de bain et danser sous la pluie comme si j’avais dix ans, je le fais. Parce que je suis comme ça. Et que ça me tente. C’est tout.

Le problème quand tu n’es pas toi-même, c’est que tu es forcément quelqu’un d’autre. Ou tu essaies de l’être. Mais vouloir plaire à tout le monde est un combat perdu d’avance. Surtout que se plaire à soi-même, c’est déjà assez dur comme ça.

Connaissez-vous beaucoup de gens qui ne jugent personne ? À trop vouloir leur plaire, les gens finissent par vous détester. Parce que lorsqu’on agit comme quelqu’un d’autre, ça se sent. Ça pue et ça sent le fake. En tout cas moi j’ai appris à le sentir.

Tu veux me pousser à faire quelque chose contre mon gré, je quitte. Tu ne respectes pas mes valeurs (liberté, authenticité, famille, entraide), je quitte. Voici mes limites. Take it or leave it.

Tu ne m’aimes pas, je m’en fous. Je n’ai pas besoin de toi dans ma vie.

Combien de fois me suis-je retrouvé dans une situation où je n’étais pas bien ? Où je n’étais pas moi ? À endurer juste pour faire plaisir à quelqu’un ou à mon égo. C’est souffrant de se marcher dessus non ?

Moi, j’ai fini de vouloir être autre chose que Patrick Goulet.

Je suis un gars simple. Je n’ai pas envie de changer de visage selon que je sois avec ma famille, mes amis ou mes clients. J’ai le goût d’être vrai. Tout le temps. D’être authentique. Même si ça risque de déplaire, je m’assume.

Et nous sommes de plus en plus comme ça. Des gens vulnérables. Des gars qui pleurent. Des gens qui savent qu’en étant vrais, ils rencontreront la vérité. Me semble qu’il y a assez de bullshit dans le monde pour ne pas se bullshiter soi-même. En fait, tant que tu n’as pas décidé d’être toi, tu ne fais que te mentir. Et mentir aux autres.

Quand tu commences à être toi à 100 %. À parler le langage du cœur. Il se passe de belles choses. Tu vois des arcs-en-ciel, des signes que tu es sur le bon chemin. Et sur le chemin, tu rencontres des gens comme toi. Des personnes qui marchent sans regarder en arrière. Avec la confiance qu’il y a quelque chose de bien pour eux. Parce qu’ils y croient vraiment. Parce qu’ils sont vrais.

D’ailleurs, je crois qu’être vrai est la seule façon de rencontrer le véritable amour. Et lorsque ça arrive, on se remercie d’avoir été authentique. Comme dit la femme qui met des étoiles dans mes yeux : « Avec l’authenticité, tu ne perds pas de temps ! ».

Alors, arrêtez de perdre votre temps à vouloir être quelqu’un d’autre. Soyez vous. Simplement. Sans attentes. Et sans attendre.

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Stéphanie Huot

En préparation pour notre rendez-vous et en parcourant le profil professionnel de Stéphanie, je ne me doutais pas que je rencontrerais une jeune femme aussi inspirante! À seulement 25 ans, elle peut déjà être extrêmement fière de ce qu’elle a accompli dans la vie!

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QUAND ÊTRE TROP FLEXIBLE VEUT DIRE SE PERDRE DANS LA MASSE!

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QUAND ÊTRE TROP FLEXIBLE VEUT DIRE SE PERDRE DANS LA MASSE!

Un des gros défis auquel je fais face en tant qu’entrepreneur est de m’assumer comme patron ou comme leader de mon équipe. Je suis convaincue que les défis que je vous exposerai ici sont semblables à ceux auxquels on fait face lorsqu’on s’associe avec d’autres personnes. En effet, naviguer en équipe veut dire que chacun met un peu d’eau dans son vin. Ce qui est difficile, à mon avis, c’est de savoir à quel moment on a tellement dilué notre vin qu’il nous ressemble moins ou que l’on ne s’y reconnaît tout simplement plus.

Il est de plus en plus difficile de fidéliser ses employés. Pour pallier cette difficulté, j’ai été, jusqu’à maintenant, une « boss cool » quand vient le temps de discuter des conditions de travail. J’avais tendance à dire oui à beaucoup de choses et à ne pas tenter d’imposer mon point de vue ailleurs que sur la qualité du travail à accomplir.

Cependant, j’ai réalisé avec le temps que lorsqu’on est un leader et qu’on doit travailler en équipe, il faut parfois apprendre à dire non pour respecter ses valeurs. Nos valeurs ne doivent pas uniquement viser la qualité du travail rendu, mais aussi bien encadrer toute notre vision d’entreprise.

Pour ce faire, j’ai dernièrement mis par écrit la liste des valeurs de mon cabinet. On ne parle pas ici uniquement des valeurs sur le plan du travail, mais plutôt sur le plan du climat de travail. J’ai réfléchi à ce que je voulais qu’on se rappelle lorsqu’on pensait à mon entreprise. Je suis de l’humble avis que les conflits surviennent d’ailleurs souvent entre associés sur ces différences de point de vue plutôt que sur la question du travail réalisé. Il faut donc avoir des valeurs claires et les faire respecter en tout temps dans notre organisation.

Par exemple, dans mon cabinet, je veux transmettre les valeurs suivantes : notre équipe est accessible et à dimension humaine. On vulgarise le droit et nous sommes égaux à nos clients. Pour moi, le tout transparaît dans la façon de communiquer avec nos clients et avec nos contacts. Je désire que les clients nous appellent par nos prénoms, qu’on soit leur fidèle conseiller. Ainsi, cette valeur devrait transparaître à travers une équipe composée de gens sociables et faciles d’approche. Il me faut éviter d’embaucher des gens prétentieux, froids, réservés et distants.

Une autre valeur qui rejoint la précédente est celle de travailler dans la bonne humeur et dans un esprit de convivialité. Je souhaite qu’on ait du plaisir au travail et qu’on travaille en équipe! Or, j’acceptais par le passé que des employés soient enfermés dans leur bureau, la porte fermée, et qu’ils dînent dans leur bureau plutôt qu’avec les autres employés ou les autres locataires de l’immeuble. Dorénavant, je recruterai des gens qui ont cette même valeur. Pour moi, il est important que les membres de mon cabinet aiment travailler en équipe, qu’il n’y ait pas de compétition malsaine entre eux et qu’ils aiment le contact avec les gens.

Lorsqu’on veut faire communiquer nos valeurs au public, je crois qu’il est important d’établir des normes et de faire vivre une expérience à nos clients. Si vous êtes sociables et chaleureux, mais que vous présentez votre client à votre collègue froid et distant, croyez-vous que votre client se sentira à l’aise?

Je crois que cet aspect est très négligé dans les entreprises de services et qu’on retrouve davantage le tout dans les entreprises de vente de produits. Il est temps de définir nos normes et nos valeurs d’entreprise. Si demain votre entreprise était une franchise, à quoi la reconnaîtrait-on? Est-ce par l’accueil, le service, les prix, le décor? Je crois que c’est important d’y réfléchir.

En bref, maintenant que j’ai bien visualisé le type de cabinet que je souhaite construire, je vais m’entourer de gens ayant ces mêmes valeurs. J’ai trouvé l’exercice tellement utile et motivant que je vais la conseiller également à mes clients. 

Qu’en pensez-vous? Avez-vous déjà eu de la difficulté à faire valoir vos couleurs dans une organisation?

Sylvie 

Révision Josée Goupil

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Suis-je une Femme Alpha?

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Suis-je une Femme Alpha?

J’ai longtemps hésité avant d’écrire sur ce blog. Je me disais : « Mais, c’est quoi une Femme Alpha? Est-ce que ça fait référence aux mâles alpha? » En zoologie, le mâle dominant ou mâle alpha est l'individu d'un groupe d'animaux que les autres membres suivent, auquel ils obéissent ou se soumettent. Chez certains animaux, l'individu dominant est une femelle. On parle alors de femelle dominante. Suis-je une femme dominante ?

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Le grand ménage

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Le grand ménage

Quand je nous dis de ralentir, de nous calmer le pompon, tu me dis : « Envoye, la grosse, va courir! Allez plus vite! Combien de biscuits t’as mangé tantôt?! »

Quand je nous félicite de prendre de sages décisions, tu me hurles : « T’es folle, ou quoi? Tu vas tout bousiller! Fonce! Laisse faire la sagesse! »

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Christine Michaud

Originaire de Québec, Christine Michaud s’est tout d’abord fait connaître au petit écran comme chroniqueuse littéraire dans divers médias. Mais un jour, il y a de cela plusieurs années, tout a basculé du point de vue personnel et professionnel. Elle s’est donc retrouvée devant une page blanche.

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Heureux Célibataire?

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Heureux Célibataire?

Dans le merveilleux monde des célibataires…
Parfois, certains se disent, je cherche rien de sérieux juste du fun
Parfois, certains se disent, on verra, qui sait, mais je cherche pas!
Parfois, certains se disent, je me cherche une fréquentation, mais rien de sérieux
Parfois, certains se disent, j’aime mieux être seul que mal accompagné
Parfois, certains se disent, je n’ai pas le temps pour une relation
Parfois, certains se disent, mes histoires marchent jamais
Parfois, certains se disent, je suis sûrement fait pour rester tout seul
Parfois, certains se disent, je vais trouver mieux, c’est pas lui ou elle… Toujours en quête de mieux.
Parfois, certains se disent, je cherche quelque chose de sérieux, c’est les autres qui ne le sont pas...

Il faut comprendre qu’on vient tous avec un bagage de vie tangible et émotionnel.

On se justifie, pour faire comprendre son point aux autres et pour se dire que tout est parfait. On est bien comme ca... Beaucoup se croit, car on se ment trop souvent à soi-même, c’est probablement plus facile.

La question à se poser froidement devrait être: Qui n’a pas besoin d’amour, de réconfort, d’affection, de présence?

Dans le fond, on cherche tous la même chose: l’AMOUR que se soit avoué ou non…

Dans le fond, quand je regarde autour de moi, je pense que ce sont ceux qui rejettent ou se trouvent des raisons…qui n’ont pas encore compris qui ils sont… 
Ils cherchent diverses options pour se comprendre et souvent finissent par passer d’une relation à une autre ou simplement n’essaient jamais.

Chaque rencontre, chaque relation, dans une vie est un petit plus pour évoluer, aller plus loin vers qui nous sommes… 

Toutes les excuses sont bonnes… car j’ai compris que l’AMOUR vient à partir du moment ou l’on peut être soi dans une relation. Mais encore trop de personnes se changent pour les autres… ça dure un temps mais ça passe.

Être en relation, c’est aussi vivre avec le miroir de soi…
BEAUCOUP ont peur, car on est pas toujours prêt à se voir en toute simplicité et vulnérabilité. On se sent NU.
Nous avons peur d'être en couple et en amour, car nous avons peur de NOUS. 

Et c’est dur de s’aimer.


On se trompe peut-être lorsqu’on essai, mais ça nous rapproche toujours plus de qui nous sommes vraiment.

Je pense que j’ai compris… Maintenant, c’est le temps de s’ouvrir.

Be YOU- Viviane

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Janick Dumas

C’est en effectuant mes recherches en prévision de l’entrevue de Madame Janick Dumas que je suis littéralement tombée sous le charme de cette femme visionnaire qui contribue à transformer les pratiques en éducation au Québec. Son leitmotiv : « Sois le changement que tu veux voir dans le monde. »

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The West Coast Call

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The West Coast Call

J’avais 15 ans la première fois où je suis venue. Au début, c’était le mal du pays qui me hantait. Mes amies me manquaient. Jour après jour, un X s’ajoutait sur mon calendrier. J’avais si hâte de retourner dans mon Québec natal. Et puis le temps passa. Sans même m’y attendre, un sentiment inconnu m’a alors envahi. 

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Le droit d’exister

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Le droit d’exister

Je crois que d’être soi-même, c’est choisir d’être vulnérable à cent pour cent, le plus souvent possible, tout en étant conscient de l’être. Nous avons tôt appris à ériger un mur, une carapace, voire même un château fort autour de notre coeur. C’est pourtant vraiment épuisant de chercher à se protéger sans cesse et ça demande beaucoup d’effort car il faut assurer la protection de notre fierté à chaque instant. Très vite, nous réalisons à quel point il est fatiguant de se battre dans le but de se protéger. Mais se protéger de quoi? Contre qui? Notre unicité? Notre grande beauté?

 

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